En direct de Berlin. Panasonic, l'un des acteurs majeurs de la déferlante 3D grand public, n'a pas succombé cette année à l'appel de l'IFA pour annoncer en grande pompe le renouvellement de sa gamme de téléviseurs. Si son stand « 3D your world » est indéniablement tourné vers le nouveau graal de l'électronique grand public, le fabricant s'est contenté d'y lancer des variantes plus abordables de son produit emblématique.
La série VT20 rapetisse et convertit en 3D
Panasonic annonce effectivement le lancement de versions 42 et 46 pouces de ses téléviseurs Viera de la série VT20.
Ils partagent avec leurs prédécesseurs de 50 et 65 pouces la technologie plasma NeoPDP, qui promet pour rappel un temps de réponse instantané ainsi qu'un noir profond, offrant de fait un taux de contraste virtuellement infini. On retrouve également les mêmes fonctions multimédias et connectées, s'étalant de la lecture de contenus depuis une clé USB à la visioconférence Skype par le biais d'une webcam optionnelle.
Ils bénéficient néanmoins d'une nouvelle fonction de conversion des sources deux dimensions en relief, dont les deux premiers modèles sont et resteront dépourvus.
Les Panasonic Viera TX-P42VT20 et TX-P46VT20 seront commercialisés en France à partir du mois d'octobre pour respectivement 2 000 et 2 200 euros.
Une série GT20 d'entrée de gamme avec 3D à la carte
Panasonic décline également un précédent modèle en lui apportant la prise en charge de la 3D. Ce nouveau téléviseur de 42 pouces est l'unique représentant de la nouvelle série GT20. Celle-ci reprend l'essentiel de la fiche technique de la série VT20, à quelques nuances près, mais abandonne le Wi-Fi intégré et les paires de lunettes actives livrées en standard au profit d'un tarif plus abordable.
Le Panasonic Viera TX-P42GT20 sera lancé au même moment pour 1 600 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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