En plus des offres quadruple play Open, Orange a également mis à jour certaines de ses offres mobiles. Sur le segment des forfaits conventionnels, associés à un nouveau mobile subventionné mais soumis à engagement, Orange ne rentre malheureusement pas dans le jeu de SFR.
Origami star
L'opérateur se contente effectivement d'un ajustement de la formule « Origami star » la plus haut de gamme, et même d'un retour en arrière. Une fois n'est pas coutume, celui-ci se fait au bénéfice du consommateur.
L'Origami star à 50 euros/mois retrouve effectivement un quota d'Internet de 2 Go, dont il bénéficiait jusqu'au mois de juin dernier, avant de passer à 1 Go. Il faut croire que les consommateurs sont plus sensibles à cet aspect que prévu, à l'heure où la concurrence propose facilement 2 Go et plus. Mais ce quota peut désormais être consommé à 42 Mbps (DC-HSDPA ou Dual Carrier). Au-delà, la connexion reste bridée. En revanche, Orange ne s'aligne pas en matière de restrictions : voix sur IP et partage de connexion (modem) sont autorisés, mais toujours pas BitTorrent ou Usenet.
Les autres « Origami zen », « star » et « jet » inaugurés le 7 juin sont à nouveau reconduits, à l'identique. En fonction des forfaits, on retrouve tout particulièrement l'illimité partagé ou Deezer Premium.
Let's go
Enfin sur le segment des forfaits Internet mobile, baptisés « Let's go », Orange généralise le DC-HSDPA, aussi appelé Dual Carrier, permettant pour rappel d'atteindre 42 Mbps avec les équipements compatibles et dans les zones couvertes.
Les quotas, les restrictions d'usage (et notamment le blocage ou le bridage) et les tarifs restent quant à eux identiques, si ce n'est qu'Orange propose quelques promotions.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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