Zero Forfait annonce à son tour le renouvellement et la simplification de sa gamme de forfaits sans engagement, désormais plus en phase avec le marché. L'opérateur virtuel s'illustre également en supprimant la plupart des restrictions.
Les « Forfaits Libres » de Zero Forfait repassent à quatre paliers, mais ils sont mieux répartis qu'au mois d'avril et globalement moins onéreux que jusqu'à présent :
1 h et 50 SMS pour 5 euros/mois
2 h et SMS illimités pour 9 euros/mois
appels illimités pour 15 euros/mois
appels et SMS illimités, Internet en 3G+ jusqu'à 1 Go pour 20 euros/mois
Les forfaits n'incluant pas de SMS ou d'Internet peuvent naturellement profiter de ces services, qui sont alors facturés hors forfait à la consommation. Les tarifs sont de 0,35 euro/min, de 0,10 euro/SMS et de 0,10 euro/Mo.
Rappelons que chez Free Mobile, mètre étalon du marché, les dépassements du forfait à 2 euros ne sont facturés que 0,05 euro/min et 0,01 euro/SMS. Le forfait à 5 euros de Zero Forfait ne présente donc aucun intérêt, si ce n'est de permettre de migrer sur des paliers intermédiaires inexistants chez Free, et celui à 9 euros n'est rentable qu'à partir de 460 SMS/mois (15 SMS/jour).
Les nouveaux « Forfaits Libres » présentent quoi qu'il en soit l'intérêt de s'inspirer de ceux de NRJ Mobile en abandonnant la plupart des restrictions, ce qui simplifie grandement la lecture des conditions particulières. Le nombre de correspondants pour les appels et SMS illimités n'est ainsi plus limité. Tous les usages sont en outre autorisés pour Internet : voix sur IP (VoIP), partage de connexion (modem), BitTorrent et Usenet devraient donc fonctionner. La connexion carbure au 3G+ jusqu'à 1 Go, puis le débit est limité jusqu'à 2 Go, puis la connexion est bloquée jusqu'à la fin du mois.
La nouvelle gamme « Forfaits Libres » de Zero Forfait est disponible dès à présent.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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