Le tout illimité est indéniablement la tendance chez les opérateurs virtuels de téléphonie mobile et l'heure est plus que jamais à la surenchère. C'est aujourd'hui au tour de NRJ Mobile d'annoncer, cette fois sans tambour ni trompette, un forfait tout illimité rivalisant pourtant avec la concurrence : l'« Ultimate illimité ».
Le forfait « Ultimate illimité » revendique pour commencer « ne rien avoir à cacher », faisant un pied de nez aux multiples astérisques des autres opérateurs. La pancarte de l'offre détaille effectivement la totalité des conditions de l'offre, malheureusement à l'exception d'une, sans recourir à une loupe.
Une seule condition (de trop ?) cachée
Les appels et les SMS (mais pas les MMS) sont ainsi illimités vers tous les opérateurs, sans restriction du nombre de correspondants, mais avec un maximum de 3 h/appel, immédiatement renouvelable. NRJ Mobile fait donc fi de l'extrême prudence dont font preuves ses concurrents au profit d'une offre simplifiée, en élargissant au passage son cœur de cible aux professionnels.
L'accès à Internet fonctionne quant à lui en 3G+ jusqu'à 1 Go, quota au-delà duquel il est bridé à un débit non communiqué. Les services BlackBerry sont en outre inclus.
Le forfait « NRJ Mobile Ultimate illimité » sera facturé 50 euros/mois avec un mobile et un engagement de 24 mois. Tarif auquel s'ajouteront 6 euros pour un engagement de 12 mois et/ou se déduiront 5 euros pour une variante sans mobile. Des smartphones d'entrée de gamme (tel que le Sony Ericsson Xperia X8) seront d'ailleurs proposés à partir de 1 euro, quand Prixtel propose les stars du moment pour 50 à 200 euros et 60 euros/mois. Cet opérateur est en revanche plus intéressant sans mobile, où il est 10 euros moins cher tout en étant sans engagement.
L'offre sera lancée le 22 juin 2011... pour une durée limitée. Il est effectivement prévu qu'elle cesse dès fin aout, à moins que NRJ Mobile ne change d'avis d'ici là.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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