Archos veut lui aussi sa part du marché des tablettes au bon rapport qualité/prix, convoité notamment par Acer, Asus et Google. Pour ce faire, il lance cette semaine l'Archos 80 Titanium en complément de l'Archos 97 Titanium.
La gamme Titanium constitue un intermédiaire entre la gamme porte-étendard Gen10 et la gamme premier prix Cobalt. Depuis hier, elle comprend donc deux modèles, calés sur la gamme iPad, tout du moins en matière d'écrans.
Comme prévu, l'Archos 97 Titanium HD présente effectivement la particularité d'embarquer un écran IPS de 9,7 pouces affichant une définition de 2048 x 1536 pixels, soit strictement les caractéristiques de l'iPad à écran Retina. Elle mesure 9 mm d'épaisseur pour 640 g.
L'Archos 80 Titanium dispose quant à lui d'un écran IPS de 8 pouces affichant une définition de 1024 x 768 pixels, tout comme l'iPad Mini. Celle-ci mesure 9,9 mm pour 440 g.
Les deux tablettes abritent par ailleurs les mêmes composants. À commencer par un SoC non précisé combinant un CPU ARM Cortex-A9 double cœur cadencé à 1,5 GHz et un GPU ARM Mali-400 à quatre unités. Il est épaulé par 1 Go de mémoire vive. Pour maintenir un prix bas, elles s'en tiennent à 8 Go de mémoire interne, mais disposent d'un emplacement microSDHC. En revanche elles ne font l'impasse ni sur le capteur frontal, ni sur le capteur dorsal. On retrouve par ailleurs une connectivité Wi-Fi, mais pas de Bluetooth, et une sortie mini HDMI sur le petit modèle, mais pas sur le grand.
Enfin, les deux modèles reposent sur Android 4.1 Jelly Bean et embarquent l'application Archos Media Center, qui prend en charge notamment les fichiers MKV incluant de la vidéo Full HD.
L'Archos 97 Titanium HD est disponible depuis quelques semaines au prix public de 250 euros, l'Archos 80 Titanium a été mise en vente hier au prix de 170 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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