Le fabricant d'appareils mobiles industriels américain Sonim propose un smartphone Android « ultra solide », le XP7.
137 x 72,1 x 20,8 mm pour 290 g
Présenté par le fabricant comme « solution aux missions critiques » et comme le smartphone Android 4G le plus résistant au monde, le Sonim XP7 multiplie les spécificités en termes de robustesse :
il est classé IP 69, donc résistant à plus de 30 minutes d'immersion à 2 m de profondeur, et totalement hermétique à la poussière
il résiste aux chutes de 2 m sur du béton, aux chocs atteignant 30 G et aux vibrations de 5 à 500 Hz
il est opérationnel avec des températures extrêmes allant de -20°C à 55°C
sa coque résiste à des impacts de 4 joules, son écran Corning Gorilla Glass 2 de 2 joules, et l'ensemble résiste à l'écrasement jusqu'à 1 tonne métrique
il résiste à l'huile et au pétrole, puis il peut être nettoyé à l'aide de solvants corrosifs et de jets haute pression et haute température
Il convient donc à toutes sortes de missions critiques dans l'industrie, et donc à tous les baroudeurs et sportifs. Par rapport à un smartphone conventionnel, il dispose par ailleurs d'un écran tactile utilisable en plein soleil ou avec des gants de travail, d'une batterie très endurante de 4800 mAh et d'un haut-parleur puissant de 19 mm délivrant 103 dB, associé à un système d'annulation de bruit pour passer des appels dans des environnements bruyants.
C'est par ailleurs un smartphone Android à cheval sur l'entrée et le milieu de gamme. Il arbore un écran WVGA (480 x 800 pixels) de 4 pouces et abrite une puce Qualcomm MSM8926 à quatre cœurs ARM Cortex-A7 à 1,2 GHz, associée à un modem 4G LTE, à 1 Go de mémoire vive et à 16 Go de mémoire interne. On trouve enfin des capteurs frontaux et dorsaux de 1 et 8 millions de pixels, du Bluetooth 4.0, du Wi-Fi 802.11n et Android 4.4.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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