Wiko annonce aujourd'hui le Getaway, un nouveau smartphone de milieu de gamme digne d'intérêt, combinant une fiche technique équilibrée à un design « sophistiqué ».
Peu après le Slide, misant sur sa taille d'écran au détriment de tout le reste, le fabricant franco-chinois Wiko lance aujourd'hui le Getaway, un modèle intéressant constituant le haut de sa gamme, mais demeurant malgré tout abordable.
143 x 69,5 x 7,2 mm pour 124 g
Le Wiko Getaway bénéficie effectivement d'une fiche technique alléchante. Il arbore pour commencer un écran IPS de 5 pouces, recouvert d'une dalle de verre Corning Gorilla Glass, qui affiche une définition HD honorable (1280 x 720 pixels). Il dispose d'un capteur frontal à 5 millions de pixels, pour des selfies (autoportraits) de bonne qualité, mais aussi d'un dorsal à 13 millions de pixels, comme certains vaisseaux amiraux concurrents vendus trois fois plus cher. Il abrite une puce à quatre cœurs ARM Cortex-A7 à 1,3 GHz, probablement une MediaTek MT6582, 1 Go de mémoire vive et 16 Go de mémoire interne. On retrouve en outre la conception double SIM innovante imaginée par Huawei, avec laquelle l'un des deux emplacements peut servir de logement microSD. L'ensemble repose sur Android 4.4 KitKat, la dernière version en date.
Non content d'être bien doté, le Wiko Getaway profite d'un dessin recherché, et ne mesure que 7,2 mm d'épaisseur. En plus de la dalle de verre Gorilla Glass précitée, l'appareil dispose d'un cadre en aluminium et d'un dos en plastique imitation cuir. Une belle promesse, si la qualité d'assemblage est à la hauteur.
La plus grande concession de ce smartphone est finalement l'absence de 4G. L'appareil se contente de modems H+, qui offrent un débit honorable de 42 Mb/s mais ne permettent pas d'accéder aux nouveaux réseaux des opérateurs, moins engorgés.
Ce Wiko Getaway sera prochainement disponible en France au prix public de 200 euros.
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MWC 2014 : présentation vidéo du Wiko Getaway :
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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