Mardi, le fabricant chinois ZTE a finalement lancé la commercialisation en France du « Blade III », le dernier né de ses smartphones revendiquant un excellent rapport qualité/prix, que nous avons testé en tout début d'année.
120,5 x 63,5 x 10,85 mm pour 130 g
Annoncé au mois d'octobre, le « ZTE Blade III » est disponible dans plusieurs pays d'Europe depuis quelques temps, mais il ne l'était pas encore en France.
En France pourtant, certains consommateurs n'ont découvert que récemment le véritable coût des téléphones mobiles, après en avoir acheté pour 1 euro pendant des années, jusqu'à l'avènement des offres low cost sans engagement... et sans subvention. Les smartphones low cost ont donc eux aussi le vent en poupe.
Le « ZTE Blade III » est l'un d'eux. Il se contente d'une fiche technique modeste, répondant aux besoins de consommateurs connectés mais peu exigeants, et se vend en contrepartie au même prix qu'un téléphone conventionnel.
Il arbore pour commencer un écran LCD de 4 pouces affichant une définition WVGA (800 x 480 pixels), soit une résolution modeste de 235 pixels par pouce, mais surtout 65 536 couleurs seulement (16 bits), et non 262 144 (18 bits) comme sur d'autres smartphones d'entrée de gamme ou 16,7 millions (24 bits) comme sur le reste. Il abrite un SoC Qualcomm MSM7227A dont le CPU à un cœur est cadencé à 1 GHz, 512 Mo de mémoire vive et 4 Go de mémoire interne, extensible par microSDHC (32 Go maximum). Il dispose enfin d'un capteur dorsal à 5 millions de pixels, du Bluetooth 2.1, du Wi-Fi N et de la 3G+ HSDPA à 7,2 Mbps.
Le « ZTE Blade III » est donc commercialisé en France depuis mardi, au prix public de 150 euros. Il sera dans un premier vendu en exclusivité par Darty. Avant de vous en porter acquéreur, consultez notre test.
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Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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