Microsoft lance le Nokia 222, un téléphone traditionnel mais connecté destiné aux réfractaires aux smartphones.
Bien qu'il mise sur la gamme de Windows Phone « Lumia », Microsoft n'abandonne pas la gamme de téléphones traditionnels Nokia. Il continue à la commercialiser et il continue même à lancer de nouveaux modèles.
Trois mois après avoir renouvelé le téléphone à 20 euros, il présente cette semaine le Nokia 222, un modèle au prix public de 50 euros.
Certes, on peut acquérir un smartphone Android tel qu'un Wiko Sunset2 pour seulement 10 euros de plus, ou un Windows Phone Lumia 530 . Le Nokia 222 n'est pas tant une alternative économique à un smartphone qu'une alternative pour technophobes. Microsoft occupe le créneau délaissé des feature phones, aussi appelés dumb phones par opposition aux smartphones, auquel tiennent certains consommateurs réfractaires aux écrans tactiles (notamment des séniors).
116 x 50 x 12,9 mm pour 79 g
Le 222 est donc un téléphone pour technophobes, oui, mais pour technophobes connectés. Alors que le 105 s'en tient exclusivement aux fonctionnalités essentielles, le nouveau venu intègre :
un navigateur internet (Opera Mini avec Bing Search),
une application météo (MSN Météo),
des applications sociales (Facebook, Facebook Messenger, Twitter et GroupMe)
des jeux vidéo Gameloft sur abonnement, un par mois pendant un an
Le téléphone repose par ailleurs sur la plateforme Nokia Series 30+, héritière d'une longue lignée, avec laquelle la cible ne sera pas dépaysée.
Sur le plan technique, le téléphone dispose d'un écran de 2,4 pouces et de 320 x 240 pixels, d'un appareil photo dorsal de 2 millions de pixels, dépourvu de flash à LED, d'une connectivité 3G et Bluetooth 3.0, mais pas Wi-Fi, et d'un logement pour une carte microSD d'un maximum de 32 Go. La batterie de 1 100 mAh confère une autonomie de 20 à 30 jours en veille et de 20 h d'appels.
Le Nokia 222 sera donc bientôt disponible en France au prix public de 50 euros. Il sera décliné en version double SIM, pour un prix non précisé.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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