NVIDIA renouvelle en premier lieu son offre entrée de gamme avec l'arrivée de pas moins de cinq nouvelles références. Il s'agit des GeForce GT 520M, GeForce GT 525M, GeForce GT 540M, GeForce GTX 550M et GeForce GTX 555M. Toutes ces nouvelles références sont gravées en 40nm et prennent en charge DirectX 11. Si l'ensemble des nouvelles GeForce GT 500M utilise une puce GF 108, le GeForce GTX 555M s'en démarque en étant basé sur une puce GF106. D'un modèle de puce à l'autre les fréquences de fonctionnement différrent tandis que le nombre d'unités de calcul est de 96 pour l'ensemble des puces sauf le modèle GeForce GTX 555M qui en embarque 144.
Toutes les GeForce 500M peuvent être utilisées avec de la mémoire GDDR3/DDR3 et GDDR5 ce qui pourra influencer largement sur leurs performances, la mémoire GDDR5 offrant une bande passante doublée. Il faudra donc surveiller ce point de détail à l'achat. Côte interface mémoire, certaines GeForce 500M utilisent un bus 64 bits, quand les modèles intermédiaires utilisent un bus 128 bits. A noter, un bus mémoire de 192 bits sur le GeForce GTX 555M
Et n'allez pas croire que ces nouvelles GeForce 500M, qui n'ont pas grand chose de neuf si ce n'est leur dénomination, sont les seules nouvelles références de la firme au caméléon. NVIDIA introduit en effet une GeForce GTX 485M... sortie de nulle part ou presque. Celle-ci est basée sur une puce GF104 (à l'origine utilisée dans le GeForce GTX 460) implémentée complètement à des fréquences toutefois inférieures au modèle de bureau. On se demande encore pourquoi cette nouvelle GeForce GTX 485M voit son nom commercial bloqué à la génération précédente.
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Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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