Canon a également annoncé aujourd'hui au Royaume-Uni le renouvellement de ses deux reflex d'entrée de gamme. Le nouvel « EOS 600D » hérite principalement de l'écran orientable du 60D, tandis que l'« EOS 1100D » bénéficie désormais de la vidéo.
Canon EOS 600D
Le « Canon EOS 600D » n'est qu'une mise à niveau de routine du 550D, qui devrait comme à l'accoutumée rester au catalogue à un prix inférieur.
Il conserve pour commencer le capteur CMOS APS-C à 18 millions de pixels de son prédécesseur qui, associé à la puce de traitement DIGIC 4, filme toujours en Full HD 1080p à 24, 25 ou 30 i/s. La prise de son reste monaurale, alors que même les compacts se sont mis au stéréo entre temps. Il photographie également toujours en rafale à 3,7 i/s, alors qu'on pouvait attendre du progrès de ce point de vue, en particulier compte-tenu des avancées de la concurrence.
Le « 600D » bénéficie donc du même écran articulé de 3 pouces que le 60D, affichant 1 million de points au même ratio 3:2 que le capteur. Celui-ci affiche enfin une interface plus accessible, destinée à accompagner les photographes débutants.
Canon EOS 1100D
Le nouveau reflex premier prix de Canon, l'« EOS 1100D », remplace enfin son prédécesseur, complètement dépassé depuis son lancement il y a deux ans et demi !
Son capteur CMOS APS-C se contente de 12,2 millions de pixels mais il grimpe désormais à 6400 ISO, contre quatre fois moins pour son aîné. La vidéo, qui n'était alors pas encore d'actualité, est cette fois naturellement de la partie, bien qu'elle plafonne à la HD 720p avec son mono. Son écran s'agrandit enfin légèrement, passant de 2,5 à 2,7 pouces, mais il conserve cette grossière définition de 230 000 points.
Les « Canon EOS 600D » et « Canon EOS 1100D » ont depuis été annoncés en France. Le premier y est vendu 799 euros nu, le second 449 euros. Le détail des packs et leurs tarifs ne sont pas encore connus pour la France.
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Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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