Rdio se distingue à nouveau de ses principaux concurrents. Le challenger du marché de la musique à la demande revendique effectivement une meilleure qualité sonore que Deezer et Spotify.
Rdio promet désormais la meilleure qualité sonore sur le segment des offres à moins de 10 euros/mois. Le service de musique à la demande a effectivement annoncé la semaine dernière une hausse de la qualité : l'AAC à 320 kb/s sera dorénavant le « standard ».
En réalité Rdio a finalement arrêté un codec. Jusqu'à présent l'éditeur indiquait en expérimenter plusieurs. Il ne communiquait que sur le débit binaire (bitrate), qui variait de 96 à 192 kb/s sur ordinateur comme sur mobile. Le codec est pourtant décisif puisqu'à débit constant, certains codecs sont plus efficaces, et donc de meilleure qualité, que d'autres.
En l'occurrence, exception faite des formats de compression sans perte, l'AAC est réputé être le plus efficace des codecs. Il est tout particulièrement plus fidèle que le MP3, auquel il succède, que Deezer utilise lui aussi au débit maximal de 320 kb/s. Spotify, qui utilise le Vorbis à 320 kb/s sur ses applications, serait ex-æquo ou dans un mouchoir de poche. Le seul service de musique à la demande à proposer une meilleure fidélité est donc Qobuz, qui diffuse en FLAC (codec lossless), mais pour 20 euros/mois.
On peut néanmoins regretter qu'aucun éditeur (hormis Qobuz en FLAC) n'ait recours au débit variable (VBR), qui permet de réduire le poids des fichiers sans réduire la qualité par rapport au débit constant maximal (CBR à 320 kb/s), en abaissant le débit lors des phases peu complexes.
Rdio propose pour rappel une offre gratuite et deux offres payantes à 5 et 10 euros par mois.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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