Rdio est disponible en France depuis hier. Ce service de musique à la demande présente la particularité d'être exclusivement payant. Il n'est pas dénué d'intérêt pour autant, au contraire.
Rdio n'a pas annoncé le lancement de son service concurrent de Deezer ou Spotify, probablement en raison de l'annonce imprévue de la tant attendue application iPad du dernier, qui l'aurait éclipsé. Peut-être aussi parce que le site Internet du service n'est encore traduit que grossièrement.
La seule offre gratuite de Rdio est une offre d'essai de 7 jours. Passé ce délai, l'utilisateur doit obligatoirement souscrire un abonnement :
« Web » : musique à la demande depuis un navigateur Internet ou un logiciel Windows ou OS X pour 5 euros/mois
« Illimité » : idem et diffusion et synchronisation hors ligne depuis smartphones, tablettes et d'autres dispositifs compatibles pour 10 euros/mois
Face à la concurrence, Rdio revendique un catalogue de 15 millions de titres, en phase avec ceux de Deezer et Spotify. En outre, la disponibilité du service depuis près de deux ans sur le marché qu'est l'Amérique du Nord garantit d'ores et déjà une large prise en charge : Rdio est accessible depuis un navigateur comme d'un logiciel abouti, de terminaux iOS (y compris l'iPad), Android, BlackBerry et Windows Phone et même des lecteurs multimédias de Roku et Sonos. À l'instar de ses concurrents, il offre enfin des fonctions sociales et de découverte.
Rdio est donc disponible dès à présent. On y souscrit par le biais de cette page.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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