En plus du Galaxy S5 et des nouvelles montres Gear, Samsung a également présenté à l'occasion de sa conférence Unpacked 5 le Gear Fit, un bracelet connecté destiné aux sportifs.
Le Samsung Gear Fit complète la gamme de wearables du fabricant. Il s'agit d'un produit à mi-chemin entre la montre connectée et le bracelet fitness. Comparé aux bracelets qui se contentent de petits écrans monochromes, le Gear Fit dispose effectivement d'un grand écran AMOLED incurvé et tactile, affichant une interface complète.
Par rapport aux montres Gear, le bracelet est néanmoins plus fin et plus léger, puisqu'il ne pèse que 27 grammes. Pour ce faire il troque l'appareil photo, le haut-parleur et le microphone pour un moniteur cardiaque.
En effet comme d'autres wearables dédiés au sport, le Gear Fit inclut un coach sportif qui encourage l'utilisateur à faire de l'exercice, et à adapter l'intensité de son effort à son rythme cardiaque mesuré en temps réel. Une connectivité ANT+ permet de connecter d'autres capteurs. L'appareil est autonome mais s'interface avec la nouvelle application maison S Health, qui consigne également toutes sortes d'activités, à commencer par la marche à pied quotidienne.
Un bracelet fitness avec fonction montre connectée
Enfin, connecté via Bluetooth 4.0 Low Energy (aussi appelé Bluetooth Smart ou BLE), le bracelet remplit les fonctions essentielles d'une montre connectée. Il affiche l'heure, pour commencer, ainsi que les notifications du téléphone, lors de la réception d'un appel, d'un message ou d'une alerte.
Tout comme les nouvelles montres du fabricant, le bracelet Samsung Gear Fit sera disponible dans de nombreux pays le 11 avril, pour un prix qui n'a pas encore été communiqué. Il ne fonctionnera qu'avec des téléphones maison, 20 smartphones Galaxy qui n'ont pas été précisés.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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