Polaroid renouvelle sa caméra miniature Cube, et lance une alternative à la fois économique et intéressante à sa nouvelle rivale, la GoPro Hero4 Session.
Hasard du calendrier ? La veille de la présentation de la GoPro Hero4 Session, Polaroid a annoncé l'ouverture des précommandes pour sa nouvelle caméra miniature, le Cube+. L'occasion de découvrir ce produit dévoilé deux semaines plus tôt à la CE Week, un événement organisé à New York par l'organisateur du CES.
Cette nouvelle caméra n'a pas été baptisée Polaroid Cube 2, mais elle aurait pu. Alors que l'adjonction du signe « plus » laisse penser qu'elle n'est qu'une modeste mise à jour, excepté son format cubique de 35 mm de côté, tout est amélioré.
Dans l'esprit d'instantanéité cher à la marque Polaroid, le Cube+ accueille pour commencer du Wi-Fi et une application mobile idoine. Celle-ci permet comme d'habitude de cadrer, de déclencher à distance, puis de transférer photos et vidéos sur téléphone ou tablette en vue d'un partage immédiat.
La caméra Polaroid Cube+ bénéficie en outre d'une qualité d'image améliorée. L'optique à 124° est vraisemblablement identique, mais le capteur passe de 5 à 8 millions de pixels. La cadence est également portée de 30 à 60 i/s en vidéo 720p comme en 1080p, ce qui permet d'enregistrer des ralentis. La qualité a été améliorée en conditions d'éclairage faible, et une fonction de stabilisation électronique fait son apparition.
L'appareil, dont la batterie est intégrée et non amovible, devient enfin compatible avec des cartes mémoires microSD d'un maximum de 64 Go, contre 32 Go auparavant. De quoi enregistrer plus de 4 h de vidéo.
Contrairement à la GoPro Hero4 Session certes trois fois plus chère, elle reste seulement résistante aux éclaboussures, elle n'est pas étanche sans caisson (optionnel).
La Polaroid Cube+ sera commercialisée fin août au prix public de 150 dollars HT, 50 dollars de plus que la première génération. Elle est disponible dès à présent en précommande. Le prix et la date de lancement en Europe n'ont pas été communiqués.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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