ViewSonic commercialise à son tour un nouveau moniteur autonome, le VSD241, qui succède à l'un des premiers ordinateurs tout-en-un reposant sur Android du marché.
Quelques mois après la déferlante de moniteurs embarquant Android du CES 2014, ViewSonic met en vente en France l'écran autonome qu'il a présenté l'année dernière, un an et demi après avoir présenté son VSD220. Il lance ainsi le VSD241, plus grand et aux caractéristiques techniques améliorées.
Du moins en partie, puisqu'il maintient le procédé tactile optique, qui ne prend en compte que deux points de contact et n'est pas aussi efficace que le procédé capacitif d'écrans concurrents comme ceux de Philips. Quoi qu'il en soit il repose sur une dalle IPS de 24 pouces affichant une définition Full HD (1920 x 1080 pixels) avec une luminosité et un contraste non communiqués.
Il dispose d'entrées HDMI et MHL pour se connecter à n'importe quel ordinateur ou terminal mobile, mais peut aussi et surtout fonctionner de manière autonome. Il abrite pour ce faire une puce Nvidia Tegra 3 (à quatre cœurs à 1,7 GHz en l'occurrence), 1 Go de mémoire vive DDR3 et 8 Go de mémoire interne, et embarque ainsi Android 4.2 avec les services de Google et en particulier le Play Store.
Sa béquille ajustable permet de l'incliner de 15 à 70° et donc de l'utiliser comme une grande tablette presque couchée sur un bureau. Il ne dispose pas d'une batterie, mais de deux ports USB et d'une connectivité Bluetooth qui permettent de relier un clavier et une souris, pour l'utiliser aussi comme un ordinateur conventionnel. En plus de l'indispensable Wi-Fi, on trouve enfin un port Ethernet, un emplacement SD et un capteur frontal à 2 millions de pixels.
Le ViewSonic VSD241 est disponible dès à présent en France pour la coquette somme de 600 euros. Il se négocie moins de 500 euros chez certains marchands, ce qui reste cher par rapport à la concurrence. Une version professionnelle intégrant le client léger Citrix est également proposée.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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