En plus des 3 nouveautés de ses appareils, Coyote annonce au Mondial de l'Automobile un nouveau service : « Mes Stats ».
Mes Stats Coyote propose un journal de bord aux utilisateurs des assistants d'aide à la conduite de la marque, qu'ils aient recours aux appareils ou à l'application. C'est en substance du quantified self pour conducteurs (de la mesure de soi), l'équivalent automobile d'un bracelet d'activité, accessible via l'application ou depuis son espace client.
Le service délivre des statistiques relatives au conducteur à titre individuel, mais aussi aux contributions de la communauté Coyote. Chacun peut savoir d'une part quelle distance il a parcouru et à quelle vitesse moyenne, et d'autre part combien d'alertes il a reçues, combien d'éclaireurs il a averti, etc.
Une mise à jour majeure début 2017
De quoi jauger de l'intérêt du paiement de l'abonnement au service (de 50 euros/an à 12 euros/mois). Ceci cacherait-il une fuite des abonnés pour des services gratuits tels que Waze ? Le responsable de l'innovation de Coyote avec lequel nous nous sommes entretenu s'en défend. Non seulement Franck Louis-Victor réfute toute baisse du nombre d'abonnés, il évoque en outre son modèle économique respectueux de la vie privée (par opposition à celui reposant sur des publicités ciblées), mais surtout il estime que Coyote reste le meilleur assistant d'aide à la conduite.
Il reconnait néanmoins que les récentes fonctions de guidage ne sont pas encore à la hauteur, et promet une mise à jour majeure de cette fonction pour le début de l'année 2017.
Une fonction de micro-communauté permettra de comparer ses statistiques avec ses amis, et ainsi d'inciter chaque utilisateur à être un meilleur éclaireur, c'est-à-dire à signaler assidument les radars ainsi que les ralentissements, les obstacles ou les accidents.
Le service Mes Stats Coyote accueillera enfin des données supplémentaires spécifiques à la conduite, telles qu'un score de souplesse, qui en feront à terme une alternative aux boîtiers connectés tels que Drust, Oocar et consorts.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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