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Les internautes disposant d'un nom de domaine configuré sur les serveurs de Google Apps ainsi que les entreprises ayant choisi l'infrastructure de Google pourront très bientôt profiter du nouveau réseau de la société. Au mois de juillet, Google avait effectivement demandé aux sociétés, impatientes de créer leur profil sur le nouveau service à la mode, d'attendre quelques semaines.
Les ingénieurs sont en train de déployer une mise à jour du panneau de configuration auprès des administrateurs d'un compte Google Apps via lequel il sera possible d'activer l'accès au site communautaire. Les utilisateurs disposeront des mêmes fonctionnalités avec également la possibilité de restreindre la publication des mises à jour seulement aux personnes rattachées au même nom de domaine. Google+ multiplie ainsi les opportunités en devenant un outil de collaboration interne pour les entreprises ou un réseau familiale pour les internautes disposant de la version gratuite de Google Apps.
L'équipe de Google+ annonce également le déploiement d'une nouvelle section intitulée What's Hot. A l'instar des trends sur Twitter, celle-ci répertorie les sujets les plus populaires discutés sur le réseau ainsi que les publications les plus partagées en temps réel. Par ailleurs, une nouvelle fonctionnalité baptisée Ripples permet à l'internaute de remonter l'historique des commentaires et des partages d'une mise à jour publique. Ripples s'inspire alors de la fonctionnalité Playback embarquée au sein de la plateforme collaborative Wave et proposant un outil de visualisation pour redécouvrir l'évolution d'une publication.
Enfin pour les photos publiées Google introduit une palette d'édition basée sur la technologie de Picnik rachetée en mars 2010. Nous retrouvons les outils standards permettant de rogner une image, de la pivoter, de régler l'exposition.... Notons également une sélection de 25 filtres et effets à appliquer sur les clichés.
Responsable du développement éditorial sur la partie Logiciel et Services Web sur Clubic. Précédemment journaliste, je traitais l'actualité web et mobile au sens large. Je m'intéressais aux entrailles des navigateurs web, aux nouveaux smartphones mais aussi aux systèmes d'exploitation, aux questions de sécurité ou à l'actualité e-business en général. Sinon je dois avouer que j'ai un faible pour tout ce qui touche au web design et c'est généralement le code source d'une page web que je lis en premier.
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