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Des chercheurs des universités de Cork et de Limerick en Irlande viennent de présenter, dans le journal Nano Letters, des résultats très intéressants en matière de batteries Lithium-Ion : une anode en nanofils de germanium permet de prolonger leurs performances.
D'après les tests menés par les chercheurs, de nombreuses charges et décharges (même poussées) ne sont pas parvenues à entamer sérieusement la capacité de leur batterie. Cette dernière est en effet particulièrement stable, puisqu'elle ne perd que 0,01% de sa valeur initiale après un cycle. Ainsi, après 1 100 cycles, la batterie conçue conserve une capacité proche des 900 mAh/g.
Les scientifiques expliquent ces bonnes performances par le comportement des nanofils utilisés pour concevoir l'anode de cette batterie : ces composés forment, après une centaine de cycles, un réseau poreux dont les propriétés mécaniques confèrent à l'anode une résistante inédite.
Les précédentes tentatives d'utilisation du germanium s'étaient soldées par des échecs, l'amas d'atomes ayant la fâcheuse tendance à s'étirer et à rompre. Ces chercheurs irlandais semblent donc parvenus à l'utiliser avec succès, sans toutefois être les premiers : une équipe de l'université de Californie, à San Diego, était parvenue à la même conclusion. Voici d'ailleurs une vidéo démontrant leurs résultats.
D'après les tests menés par les chercheurs, de nombreuses charges et décharges (même poussées) ne sont pas parvenues à entamer sérieusement la capacité de leur batterie. Cette dernière est en effet particulièrement stable, puisqu'elle ne perd que 0,01% de sa valeur initiale après un cycle. Ainsi, après 1 100 cycles, la batterie conçue conserve une capacité proche des 900 mAh/g.
Les scientifiques expliquent ces bonnes performances par le comportement des nanofils utilisés pour concevoir l'anode de cette batterie : ces composés forment, après une centaine de cycles, un réseau poreux dont les propriétés mécaniques confèrent à l'anode une résistante inédite.
Les précédentes tentatives d'utilisation du germanium s'étaient soldées par des échecs, l'amas d'atomes ayant la fâcheuse tendance à s'étirer et à rompre. Ces chercheurs irlandais semblent donc parvenus à l'utiliser avec succès, sans toutefois être les premiers : une équipe de l'université de Californie, à San Diego, était parvenue à la même conclusion. Voici d'ailleurs une vidéo démontrant leurs résultats.