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Lancé il y a deux ans aux États-Unis, le Google Cardboard bénéficie enfin d'un canal de distribution officiel en France. Le masque de réalité virtuelle en carton n'est pas encore en tête de gondole en magasin, mais il est désormais vendu sur une boutique en ligne de confiance : sur le Google Play Store.
L'objet est vendu 20 euros à l'unité ou 30 euros par lot de deux, expédition « économique » en 4 à 7 jours ouvrés incluse (une expédition « standard » en 2 à 3 jours ouvrés est également proposée pour 6 euros).
Certes, 20 euros c'est cher pour du carton et deux lentilles en plastique. Mais c'est trois fois moins cher qu'une autre référence des masques de réalité virtuelle pour smartphone, le casque Homido à 70 euros. Mais c'est plus cher que la paire de lunettes Homido Mini vendue la modique somme de 15 euros.
Surtout, c'est infiniment plus cher que d'autres masques de réalité virtuelle en carton basés sur les patrons « open source » du Google Cardboard qui sont distribués gratuitement à diverses occasions et jusque dans des paquets de céréales.
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La combinaison de la dernière version du Google Cardboard et du Google Play Store sont quoi qu'il en soit des valeurs sûres. Rappelons néanmoins que l'objet n'est qu'un masque dans lequel il faut fixer son smartphone, et qu'il est dépourvu de bandeau de maintien sur la tête. Il faut donc le tenir à la main pour l'utiliser, ce qui convient néanmoins à de brèves expériences, telles que le visionnage de la dernière vidéo promotionnelle de GoPro. Vous ne regarderez probablement pas en revanche l'intégralité d'un match de Roland-Garros.
Smartphone vendu séparément !
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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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