On connaissait les dieux de la mythologie chez Asus avec les cartes graphiques Ares ou Poseidon, on connaissait également les cartes graphiques Mars, c'était sans compter sur la série Strix. Comme le nom interpelle forcément Asus nous explique que Strix vient du romain et désigne la grande famille des strigidés du monde animalier. Autrement dit les hiboux et les chouettes. Selon Asus, le nom Strix a été choisi pour sous entendre une ouïe parfaite, une vision ultra précise et une capacité d'adaptation à son environnement, des qualités qui sont supposées animer les joueurs. Ainsi peut être que la vie nocturne ?
Cette Strix est bien sûr basée sur une puce NVIDIA GeForce GTX 750 Ti, de génération Maxwell que nous avons testé il y a quelque temps. La carte dispose du bien connu système de refroidissement DirectCU II, lequel est réputé assez discret. On retrouve donc un radiateur avec des caloducs en cuivre de 6mm de diamètre et deux ventilateurs pour aider à dissiper la chaleur. Asus indique qu'en dessous de 50° C, les ventilateurs de la carte s'arrêtent ce qui doit permettre de visionner des vidéos sans bruit... du moins de la carte graphique. Côté fréquences de fonctionnement Asus annonce un GPU tournant de base à 1124 MHz (contre 1019 MHz de base pour NVIDIA) et atteignant les 1202 MHz en overclocking avec 2 Go de mémoire GDDR5 à 1350 MHz.
Au format double-slot, la carte propose une connectique complète avec un connecteur HDMI, un connecteur DVI et un port DisplayPort.
Tandis que les GeForce GTX 750 Ti traditionnelles se négocient plutôt dans les 135 euros TTC en ce moment, Asus annonce une disponibilité pour la le début du mois d'août au prix de 184 euros TTC.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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