Bang & Olufsen a annoncé aujourd'hui une nouvelle enceinte haut de gamme, la « BeoPlay A9 », qui complète l'A8 mais ne la remplace pas.
Nouvelle représentante de la gamme BeoPlay, l'« A9 » est à son tour destinée aux consommateurs de contenus dématérialisés. Lancée après l'avènement du connecteur Lightning d'Apple, elle est comme prévu dépourvue de connectique filaire et se contente d'une connectivité sans fil.
Elle embarque effectivement une connectivité Wi-Fi et prend en charge deux protocoles de diffusion de musique :
l'AirPlay, la solution propriétaire d'Apple, permettant de diffuser depuis un iPhone, un iPod Touch ou un iPad, mais aussi d'un Mac ou d'un PC exécutant iTunes
le DLNA, le standard avec lequel de nombreux appareils sont nativement compatibles : smartphones et tablettes Android, Windows Phone ou encore ordinateurs exécutant Windows
Une application BeoSetup pour Android ou iOS assure la connexion de l'enceinte au réseau Wi-Fi domestique. À défaut de station d'accueil, un port USB permet de recharger l'appareil source, particulièrement gourmand en énergie lorsqu'il diffuse de la musique sans fil, mais il n'y a aucun emplacement pour le poser. Une entrée auxiliaire 3,5 mm permet enfin de connecter n'importe quelle source.
Sur le plan acoustique, l'« A9 » repose sur une conception bass reflex 2.1. Elle abrite un haut-parleur de 8 pouces pour les graves, conduit par un amplificateur de classe D de 160 W, deux haut-parleurs de 3 pouces pour les médiums et deux haut-parleurs de 3/4 de pouce pour les aigus, qui bénéficient tous les quatre de leur propre amplificateur de classe D de 80 W. Un traitement numérique adapte enfin le son à l'installation : posée, dans un coin ou accrochée au mur.
L'enceinte « B&O BeoPlay A9 » sera commercialisée mi-novembre en France pour la coquette somme de 2000 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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