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Alors que les constructeurs de téléphones rivalisent dans la conception de nouveaux produits, les réseaux de distribution continuent de s'organiser. La jeune pousse Gameloft (mêmes actionnaires que Ubi Soft) et MMO² (Ex-British CellNet), signent un accord de distribution pour jeux java en Allemagne, au Royaume Uni, en Irlande et aux Pays-bas.
Moins important que Vodafone, Orange ou T-mobile, le réseau MMO² compte néanmoins 17,5 millions d'abonnés auxquels GameLoft pourra proposer, dans la mesure où ces derniers sont équipés d'un téléphone compatible java J2ME, l'un de leurs 15 jeux téléchargeable pour un coût unitaire de 2,49 euro.
« Nous sommes très satisfaits de lancer toute une gamme de jeux avec un acteur majeur comme mmO2 », commente Michel Guillemot, président de Gameloft. « Grâce à cet accord, les utilisateurs de MMO2 vont découvrir une simplicité d'achat et de téléchargement qui leur feront apprécier pleinement la qualité des jeux Gameloft. »
Après un accord avec Vodafone et différents opérateurs cellulaires, GameLoft continue donc de tisser son réseau de distribution. Longtemps boudé par les analystes, le cours s'est envolé de plus de 40% en quelques semaines, annonçant peut-être des opérations sur la jeune pousse dont la capitalisation boursière atteint tout de même 45 millions d'euros !
Moins important que Vodafone, Orange ou T-mobile, le réseau MMO² compte néanmoins 17,5 millions d'abonnés auxquels GameLoft pourra proposer, dans la mesure où ces derniers sont équipés d'un téléphone compatible java J2ME, l'un de leurs 15 jeux téléchargeable pour un coût unitaire de 2,49 euro.
« Nous sommes très satisfaits de lancer toute une gamme de jeux avec un acteur majeur comme mmO2 », commente Michel Guillemot, président de Gameloft. « Grâce à cet accord, les utilisateurs de MMO2 vont découvrir une simplicité d'achat et de téléchargement qui leur feront apprécier pleinement la qualité des jeux Gameloft. »
Après un accord avec Vodafone et différents opérateurs cellulaires, GameLoft continue donc de tisser son réseau de distribution. Longtemps boudé par les analystes, le cours s'est envolé de plus de 40% en quelques semaines, annonçant peut-être des opérations sur la jeune pousse dont la capitalisation boursière atteint tout de même 45 millions d'euros !
