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Le patron de Hewlett-Packard, Mark Hurd, est suspecté de complicité dans l'affaire d'espionnage interne qui handicape le groupe et inquiète les marchés.
Espionnage interne : Mark Hurd, CEO d'HP, doit s'expliquer.
En début d'année, Patricia Dunn, présidente du conseil d'administration du groupe informatique, a chargé une agence de détectives privés d'obtenir des informations sensibles sur ses collègues et d'identifier l'auteur d'alertes à l'attention de la presse.
Mouchard présumé, George Keyworth a récemment démissionné. Thomas Perkins, un autre membre du conseil, scandalisé par les pratiques internes de la société, a quitté son poste dès le printemps 2006 et l'a fait savoir.
La presse américaine a relayé l'information. Initiatrice de cette affaire, Patricia Dunn a obtenu un relevé précis des communications effectuées par ses collègues mais aussi des données concernant des journalistes. L'opérateur AT&T a confirmé.
Acculée, la direction générale d'HP a été dans l'obligation d'informer la Commission américaine en charge des opérations de bourse (SEC) de la situation.
Les inquiétudes sur d'éventuelles fuites concernant les délibérations du conseil d'HP précèderaient l'éviction, en 2005, de Carly FIORINA ex-CEO du groupe.
La publication récente des explications du groupe et l'enquête ouverte par le comité 'gouvernance d'entreprise et nominations' d'HP, ont eu raison de Patricia Dunn. Celle-ci devrait être remplacée à la tête du conseil par Mark Hurd, début 2007.
Or, Mark Hurd, patron du groupe Hewlett-Packard, est lui-même suspecté de complicité dans cette affaire d'espionnage interne et de pressions exercées sur des journalistes (CNET, Wall Street Journal, New York Times).
Mark Hurd tente aujourd'hui de rassurer les investisseurs. Va-t-il conserver sa place de "Chief Executive Officer" ?
Espionnage interne : Mark Hurd, CEO d'HP, doit s'expliquer.
En début d'année, Patricia Dunn, présidente du conseil d'administration du groupe informatique, a chargé une agence de détectives privés d'obtenir des informations sensibles sur ses collègues et d'identifier l'auteur d'alertes à l'attention de la presse.
Mouchard présumé, George Keyworth a récemment démissionné. Thomas Perkins, un autre membre du conseil, scandalisé par les pratiques internes de la société, a quitté son poste dès le printemps 2006 et l'a fait savoir.
La presse américaine a relayé l'information. Initiatrice de cette affaire, Patricia Dunn a obtenu un relevé précis des communications effectuées par ses collègues mais aussi des données concernant des journalistes. L'opérateur AT&T a confirmé.
Acculée, la direction générale d'HP a été dans l'obligation d'informer la Commission américaine en charge des opérations de bourse (SEC) de la situation.
Les inquiétudes sur d'éventuelles fuites concernant les délibérations du conseil d'HP précèderaient l'éviction, en 2005, de Carly FIORINA ex-CEO du groupe.
La publication récente des explications du groupe et l'enquête ouverte par le comité 'gouvernance d'entreprise et nominations' d'HP, ont eu raison de Patricia Dunn. Celle-ci devrait être remplacée à la tête du conseil par Mark Hurd, début 2007.
Or, Mark Hurd, patron du groupe Hewlett-Packard, est lui-même suspecté de complicité dans cette affaire d'espionnage interne et de pressions exercées sur des journalistes (CNET, Wall Street Journal, New York Times).
Mark Hurd tente aujourd'hui de rassurer les investisseurs. Va-t-il conserver sa place de "Chief Executive Officer" ?
