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Bertelsmann vient de confirmer la cession de BMG Music Publishing à Vivendi Universal pour 1.63 milliards d'euros, renforçant la position d'Universal dans la m
Jeu de chaises musicales dans l'industrie du disque. A la recherche de liquidités pour racheter les 25% de son capital détenus par le belge Albert Frère, le groupe allemand Bertelsmann a décidé de céder son catalogue musical BMG Music Publishing au français Vivendi pour 1.63 milliards d'euros.
"L'acquisition de BMG Music Publishing est une opportunité unique de développer notre activité d'édition musicale et d'accroître la valeur d'UMG au moment où le marché de la musique se redresse, porté par les innovations technologiques et les ventes de téléchargement ", déclare Jean-Bernard Lévy, président du directoire de Vivendi, dans un communiqué.
Ainsi, malgré la récente fusion entre les maisons de disque BMG et Sony Music, qui représentent 25% du marché, c'est bien Universal Music Group, numéro 1 mondial avec 26% de parts de marché, qui prend le contrôle d'une partie du catalogue de son concurrent. L'acquisition devrait être bouclée d'ici la fin de l'année, une fois que les autorités européennes et américaines de la concurrence auront donné leur accord. Avec un chiffre d'affaires de 371 millions d'euros en 2005, BMG comptait pour environ 2% des résultats du groupe Bertelsmann.
Selon un rapport de l'institut marketing britannique Screen Digest, les ventes de musique sous forme de sonneries de téléphones mobiles et de téléchargements pourraient dépasser le milliard d'euros dès 2010 (contre 121 millions d'euros en 2005) et ainsi compenser les baisses de ventes de CD traditionnels.
Jeu de chaises musicales dans l'industrie du disque. A la recherche de liquidités pour racheter les 25% de son capital détenus par le belge Albert Frère, le groupe allemand Bertelsmann a décidé de céder son catalogue musical BMG Music Publishing au français Vivendi pour 1.63 milliards d'euros.
"L'acquisition de BMG Music Publishing est une opportunité unique de développer notre activité d'édition musicale et d'accroître la valeur d'UMG au moment où le marché de la musique se redresse, porté par les innovations technologiques et les ventes de téléchargement ", déclare Jean-Bernard Lévy, président du directoire de Vivendi, dans un communiqué.
Ainsi, malgré la récente fusion entre les maisons de disque BMG et Sony Music, qui représentent 25% du marché, c'est bien Universal Music Group, numéro 1 mondial avec 26% de parts de marché, qui prend le contrôle d'une partie du catalogue de son concurrent. L'acquisition devrait être bouclée d'ici la fin de l'année, une fois que les autorités européennes et américaines de la concurrence auront donné leur accord. Avec un chiffre d'affaires de 371 millions d'euros en 2005, BMG comptait pour environ 2% des résultats du groupe Bertelsmann.
Selon un rapport de l'institut marketing britannique Screen Digest, les ventes de musique sous forme de sonneries de téléphones mobiles et de téléchargements pourraient dépasser le milliard d'euros dès 2010 (contre 121 millions d'euros en 2005) et ainsi compenser les baisses de ventes de CD traditionnels.
