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Une société luxembourgeoise propose de louer pour deux ans un millier de mots-clés, dans le but de booster le fameux PageRank de Google
Après le coût au clic (CPC) et le coût à l'impression (CPM), les professionnels du webmarketing vont-ils devoir s'habituer au coût au ranking (CPR) ? On en est pas encore là mais 1000-Mots-Cles, une jeune société domiciliée au Luxembourg, propose depuis deux mois aux internautes de louer un millier de mots clef pour gonfler artificiellement le PageRank de leur site web, le fameux système de notation de Google précisément basé sur la popularité d'une URL.
Chaque mot clef peut bien évidemment être associé à un site web (exemple "Information eBusiness" et NetEco.com") et la société revendique un réseau de plus de 20.000 sites web, annuaires et moteurs, relayant le bloc et constituant autant de liens hypertexte associant une idée et un site web.
Le lien étant en dur, le société renonce au marketing à la performance qui a fait le succès des liens sponsorisés de Google et , au profit d'une simple formule de location longue durée. "Les prix peuvent aller de 0,80 € pour les mots les plus courants jusqu'à 20 euros pour les plus demandés, et sont à 25 euros pour les mots suggérés, c'est à dire choisis et proposés par le client. Nous avons choisi de mettre une durée de deux ans pour permettre à notre site d'augmenter régulièrement le page rank pour en faire bénéficier nos acheteurs sur le long terme. Au terme des deux ans, nous proposeront un renouvellement." explique Jean-Louis Duzès, directeur de la société.
Estimant ne pas pratiquer de spamdexing, la société est en tout cas encore trop jeune pour avoir eu un impact significatif sur le PageRank de ses premiers clients ou sur celui de son propre site web, encore à zéro. Après les petits pavés de liens "en dur" achetés par les guides d'achat ou les marchands en ligne sur les sites disposant d'un fort PageRank, cette initiative confirme en tout cas l'importance de cette note dans une stratégie de référencement. Reste à savoir si les équipes de Google accepteront cette nouvelle forme de publicité ou si elle trouveront un moyen de la sanctionner, pour conserver à leur index un caractère "naturel".
Après le coût au clic (CPC) et le coût à l'impression (CPM), les professionnels du webmarketing vont-ils devoir s'habituer au coût au ranking (CPR) ? On en est pas encore là mais 1000-Mots-Cles, une jeune société domiciliée au Luxembourg, propose depuis deux mois aux internautes de louer un millier de mots clef pour gonfler artificiellement le PageRank de leur site web, le fameux système de notation de Google précisément basé sur la popularité d'une URL.
Chaque mot clef peut bien évidemment être associé à un site web (exemple "Information eBusiness" et NetEco.com") et la société revendique un réseau de plus de 20.000 sites web, annuaires et moteurs, relayant le bloc et constituant autant de liens hypertexte associant une idée et un site web.
Le lien étant en dur, le société renonce au marketing à la performance qui a fait le succès des liens sponsorisés de Google et , au profit d'une simple formule de location longue durée. "Les prix peuvent aller de 0,80 € pour les mots les plus courants jusqu'à 20 euros pour les plus demandés, et sont à 25 euros pour les mots suggérés, c'est à dire choisis et proposés par le client. Nous avons choisi de mettre une durée de deux ans pour permettre à notre site d'augmenter régulièrement le page rank pour en faire bénéficier nos acheteurs sur le long terme. Au terme des deux ans, nous proposeront un renouvellement." explique Jean-Louis Duzès, directeur de la société.
Estimant ne pas pratiquer de spamdexing, la société est en tout cas encore trop jeune pour avoir eu un impact significatif sur le PageRank de ses premiers clients ou sur celui de son propre site web, encore à zéro. Après les petits pavés de liens "en dur" achetés par les guides d'achat ou les marchands en ligne sur les sites disposant d'un fort PageRank, cette initiative confirme en tout cas l'importance de cette note dans une stratégie de référencement. Reste à savoir si les équipes de Google accepteront cette nouvelle forme de publicité ou si elle trouveront un moyen de la sanctionner, pour conserver à leur index un caractère "naturel".
