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Le Brésil veut obtenir des donnés d'utilisateurs ayant diffusé des contenus incitant à la haine raciale via Orkut, réseau social affilié à Google.
Le Brésil veut imposer à la filiale locale de Google la fourniture d'informations sur les utilisateurs d'Orkut.com soupçonnés de diffuser des contenus xénophobes.
Depuis 2004, le plus dynamique des moteurs de recherche sur le Net administre Orkut, site web communautaire accessible aux membres identifiés par un nom d'utilisateur et un mot de passe.
Le réseau social qui, à l'heure actuelle, compte plus de 20 millions d'utilisateurs au Brésil est à nouveau sous le feu médiatique.
Suspecté d'héberger, via ses forums de discussions, des contenus incitant à la haine raciale et d'autres pédopornographiques, Orkut.com a fait l'objet dès janvier 2005 d'une enquête ouverte à la demande d'un procureur de Sao Paulo.
Le site a-t-il bafoué la législation brésilienne contre les crimes et délits en hébergeant ces contenus ? La société Google Brésil est-elle coupable de ne pas avoir pris les "mesures de précaution" adaptées ?
Malgré la pression, l'entité refuse de fournir des données relatives aux internautes suspectés. Résultat, mardi 22 août 2006, le procureur a déposé plainte devant une cour fédérale.
Celui-ci entend obtenir la condamnation de la filiale brésilienne de Google et la contraindre à fournir ces informations. En cas de refus, la justice pourrait imposer à Google Brésil (Google Brasil Internet Ltda) l'arrêt de ses activités.
En réponse, Google Brésil a indiqué : "Il est impossible de satisfaire la demande du procureur. Les informations sur les membres d'Orkut sont hébergées aux Etats-Unis, sur les serveurs de Google Inc."
Quelle sera la réaction de la firme Internet de Mountain View, Californie ?
Le Brésil veut imposer à la filiale locale de Google la fourniture d'informations sur les utilisateurs d'Orkut.com soupçonnés de diffuser des contenus xénophobes.
Depuis 2004, le plus dynamique des moteurs de recherche sur le Net administre Orkut, site web communautaire accessible aux membres identifiés par un nom d'utilisateur et un mot de passe.
Le réseau social qui, à l'heure actuelle, compte plus de 20 millions d'utilisateurs au Brésil est à nouveau sous le feu médiatique.
Suspecté d'héberger, via ses forums de discussions, des contenus incitant à la haine raciale et d'autres pédopornographiques, Orkut.com a fait l'objet dès janvier 2005 d'une enquête ouverte à la demande d'un procureur de Sao Paulo.
Le site a-t-il bafoué la législation brésilienne contre les crimes et délits en hébergeant ces contenus ? La société Google Brésil est-elle coupable de ne pas avoir pris les "mesures de précaution" adaptées ?
Malgré la pression, l'entité refuse de fournir des données relatives aux internautes suspectés. Résultat, mardi 22 août 2006, le procureur a déposé plainte devant une cour fédérale.
Celui-ci entend obtenir la condamnation de la filiale brésilienne de Google et la contraindre à fournir ces informations. En cas de refus, la justice pourrait imposer à Google Brésil (Google Brasil Internet Ltda) l'arrêt de ses activités.
En réponse, Google Brésil a indiqué : "Il est impossible de satisfaire la demande du procureur. Les informations sur les membres d'Orkut sont hébergées aux Etats-Unis, sur les serveurs de Google Inc."
Quelle sera la réaction de la firme Internet de Mountain View, Californie ?
