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Nés dans l'ombre d'Ozone, les lapins Nabaztags de Violet se sont vendus à 50.000 exemplaires, convertissant 28% de ses utilisateurs aux services premium
Les lapins se vendent comme des petits pains. Nés dans l'ombre d'Ozone, le réseau pervasif WiFi de Rafi HALADJIAN, les lapins communicants "Nabaztag" de Violet sont en train de lui voler la vedette. A l'occasion de l'annonce d'une levée de fonds auprès de Banexi Ventures, dont le montant n'a pas été communiqué, la société Violet vient de partager quelques statistiques sur les ventes de son produit.
En moins d'un an, Violet aurait vendu plus de 50.000 Nabaztag, essentiellement en France, Suisse et Belgique et la société pense pouvoir atteindre le cap des 150.000 unités d'ici la fin 2006, grâce à son arrivée prochaine sur le marché américain. Selon Violet, 45% des possesseurs de Nabaztag sont des femmes, 64% ont entre 18 et 45 ans, 35% ont entre 26 et 35 ans et 28% auraient adhéré à des services premium additionnels, dont le coût mensuel varie de 0 à 5.9 €.
"Qui aurait dit il y a 1 an que c'est un simple lapin qui lancerait une nouvelle industrie ! En créant un objet unique, ludique et utile et grâce à la communauté des utilisateurs et des développeurs nous avons pu faire adopter par des dizaines de milliers d'utilisateurs le premier objet communicant. Le premier d'une longue série : l'histoire des "smart objects" a véritablement commencé." indique Olivier Mével cofondateur de Violet.
Vendu une centaine d'euros, Nabaztag démontre en tout cas qu'il existe un marché pour les robots domestiques, un marché pourtant abandonné il y a quelques mois par Sony, faute de demande pour son aïbo, un chien robot vendu pour sa part plus de ... 2000 euros.
Les lapins se vendent comme des petits pains. Nés dans l'ombre d'Ozone, le réseau pervasif WiFi de Rafi HALADJIAN, les lapins communicants "Nabaztag" de Violet sont en train de lui voler la vedette. A l'occasion de l'annonce d'une levée de fonds auprès de Banexi Ventures, dont le montant n'a pas été communiqué, la société Violet vient de partager quelques statistiques sur les ventes de son produit.
En moins d'un an, Violet aurait vendu plus de 50.000 Nabaztag, essentiellement en France, Suisse et Belgique et la société pense pouvoir atteindre le cap des 150.000 unités d'ici la fin 2006, grâce à son arrivée prochaine sur le marché américain. Selon Violet, 45% des possesseurs de Nabaztag sont des femmes, 64% ont entre 18 et 45 ans, 35% ont entre 26 et 35 ans et 28% auraient adhéré à des services premium additionnels, dont le coût mensuel varie de 0 à 5.9 €.
"Qui aurait dit il y a 1 an que c'est un simple lapin qui lancerait une nouvelle industrie ! En créant un objet unique, ludique et utile et grâce à la communauté des utilisateurs et des développeurs nous avons pu faire adopter par des dizaines de milliers d'utilisateurs le premier objet communicant. Le premier d'une longue série : l'histoire des "smart objects" a véritablement commencé." indique Olivier Mével cofondateur de Violet.
Vendu une centaine d'euros, Nabaztag démontre en tout cas qu'il existe un marché pour les robots domestiques, un marché pourtant abandonné il y a quelques mois par Sony, faute de demande pour son aïbo, un chien robot vendu pour sa part plus de ... 2000 euros.
