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Un tribunal polonais a annulé un jugement qui avait retiré à E.T., joint Venture de Elektrim et Vivendi, le contrôle opérationnel de l'opérateur PTC.
Après SFR et , Vivendi Universal pourrait prendre le contrôle de l'opérateur polonais PTC.
Depuis sa création, PTC est contrôlé à 51% par le groupe énergétique Elektrim et à 49% par l'opérateur allemand Deutsche Telekom. Après avoir transféré ses actifs dans une filiale appelée Elektrim Telekomunikacja (ET), le groupe Elektrim a fait entrer au capital de ET le groupe français Vivendi Universal, alors à la recherche d'opportunités en Europe de l'Est. Après un premier chèque de 1.2 milliards de dollars donnant à VU 49% du capital de ET, le groupe français a fait un second chèque de 600 millions de dollars pour passer à 51% et ainsi prendre le contrôle de ET et indirectement de PTC..
Depuis quelques années, ces opérations sont toutefois vivement contestées par Deutsche Telekom qui souhaite également prendre le contrôle de PTC dont il détient tout de même 49%. Profitant d'un premier jugement qui avait annulé le transfert des parts de Elektrim à ET, l'opérateur allemand avait immédiatement fait le ménage chez PTC, n'hésitant pas à expulser manu militari les administrateurs favorables à Vivendi.
Mais un nouveau jugement du tribunal des affaires de Varsovie vient de casser ce premier jugement, confirmant que ET est bien actionnaire à 51% de PTC, ce qui devrait redonner à Vivendi le contrôle effectif de l'opérateur polonais dont il souhaite désormais racheter 100% du capital. En attendant de trouver un éventuel terrain d'entente avec Deutsche Telekom, Vivendi devrait en tout cas racheter les 49% détenus par Elektrim dans ET et contrôler intégralement 51% du capital de PTC.
Après avoir envisagé de quitter les télécoms, le groupe français, désormais dirigé par Jean-René Fourtou, semble au contraire reprendre l'offensive en contrôlant un nouvel opérateur européen.
Après SFR et , Vivendi Universal pourrait prendre le contrôle de l'opérateur polonais PTC.
Depuis sa création, PTC est contrôlé à 51% par le groupe énergétique Elektrim et à 49% par l'opérateur allemand Deutsche Telekom. Après avoir transféré ses actifs dans une filiale appelée Elektrim Telekomunikacja (ET), le groupe Elektrim a fait entrer au capital de ET le groupe français Vivendi Universal, alors à la recherche d'opportunités en Europe de l'Est. Après un premier chèque de 1.2 milliards de dollars donnant à VU 49% du capital de ET, le groupe français a fait un second chèque de 600 millions de dollars pour passer à 51% et ainsi prendre le contrôle de ET et indirectement de PTC..
Depuis quelques années, ces opérations sont toutefois vivement contestées par Deutsche Telekom qui souhaite également prendre le contrôle de PTC dont il détient tout de même 49%. Profitant d'un premier jugement qui avait annulé le transfert des parts de Elektrim à ET, l'opérateur allemand avait immédiatement fait le ménage chez PTC, n'hésitant pas à expulser manu militari les administrateurs favorables à Vivendi.
Mais un nouveau jugement du tribunal des affaires de Varsovie vient de casser ce premier jugement, confirmant que ET est bien actionnaire à 51% de PTC, ce qui devrait redonner à Vivendi le contrôle effectif de l'opérateur polonais dont il souhaite désormais racheter 100% du capital. En attendant de trouver un éventuel terrain d'entente avec Deutsche Telekom, Vivendi devrait en tout cas racheter les 49% détenus par Elektrim dans ET et contrôler intégralement 51% du capital de PTC.
Après avoir envisagé de quitter les télécoms, le groupe français, désormais dirigé par Jean-René Fourtou, semble au contraire reprendre l'offensive en contrôlant un nouvel opérateur européen.
