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Deux articles publiés dans les colonnes de libroscope.org font la critique d'une approche simpliste des licences non commerciales Creative Commons.
Encensée par les partisans de la diffusion libre des créations de l'esprit, l'initiative Creative Commons serait à tort assimilée à une "petite soeur du logiciel libre".
Dans sa synthèse du 12 mai 2005, InternetActu, site qui lui-même publie ses informations sous une licence CC (http://fr.creativecommons.org/), met en lumière une critique parue le mois dernier dans les colonnes de libroscope.org.
Antoine PITROU note dans l'article "des contenus libres pour les logiciels libres" daté du 12 avril dernier :
"Une propagande simpliste veut que l'initiative Creative Commons - et, par extension, l'ensemble des licences de type 'non commerciales' - soit une 'petite soeur du logiciel libre'".
Selon lui "cette façon de présenter les choses occulte les grandes divergences politiques et morales des deux mouvements", Antoine PITROU ajoute : "intégrer à un logiciel libre des contenus sous licence 'non commerciale', ou n'autorisant pas les modifications, fait de ce logiciel un logiciel non libre".
Raphaël ROUSSEAU poursuit dans un article initialement publié en avril 2004 (www.cooperation.net/raph/info/111665.html), "Non commercial : Est-ce cela qui importe dans les licences dites 'libres'?":
"Les licences Creative Commons mettent l'accent sur l'aspect économique, en renforçant l'impression, déjà assez répandue, que là se trouve un des noeuds du problème de la diffusion d'information [...] Je crois qu'on est face à une confusion des genres, qui est extrêmement contre-productive".
Les licences Creative Commons, malgré des articles élogieux (www.neteconomie.com/perl/navig.pl/neteconomie/infos/article/20050308110028; www.framasoft.net/article2185.html), ne seraient pas libres puisque "choisissant le degré de liberté octroyé au public".
Encensée par les partisans de la diffusion libre des créations de l'esprit, l'initiative Creative Commons serait à tort assimilée à une "petite soeur du logiciel libre".
Dans sa synthèse du 12 mai 2005, InternetActu, site qui lui-même publie ses informations sous une licence CC (http://fr.creativecommons.org/), met en lumière une critique parue le mois dernier dans les colonnes de libroscope.org.
Antoine PITROU note dans l'article "des contenus libres pour les logiciels libres" daté du 12 avril dernier :
"Une propagande simpliste veut que l'initiative Creative Commons - et, par extension, l'ensemble des licences de type 'non commerciales' - soit une 'petite soeur du logiciel libre'".
Selon lui "cette façon de présenter les choses occulte les grandes divergences politiques et morales des deux mouvements", Antoine PITROU ajoute : "intégrer à un logiciel libre des contenus sous licence 'non commerciale', ou n'autorisant pas les modifications, fait de ce logiciel un logiciel non libre".
Raphaël ROUSSEAU poursuit dans un article initialement publié en avril 2004 (www.cooperation.net/raph/info/111665.html), "Non commercial : Est-ce cela qui importe dans les licences dites 'libres'?":
"Les licences Creative Commons mettent l'accent sur l'aspect économique, en renforçant l'impression, déjà assez répandue, que là se trouve un des noeuds du problème de la diffusion d'information [...] Je crois qu'on est face à une confusion des genres, qui est extrêmement contre-productive".
Les licences Creative Commons, malgré des articles élogieux (www.neteconomie.com/perl/navig.pl/neteconomie/infos/article/20050308110028; www.framasoft.net/article2185.html), ne seraient pas libres puisque "choisissant le degré de liberté octroyé au public".
