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Une nouvelle vague de plaintes porte à plus de 10.000 le nombre d'internautes poursuivis pour piratage de musique aux Etats-Unis depuis septembre 2003.
Toujours plus ? L'organisation américaine du disque annonce avoir déposé 725 nouvelles plaintes contre des internautes accusés de partage illégal de fichiers musicaux.
Résultat, la RIAA (Recording Industry Association of America) a franchi en 18 mois de campagne contre le piratage le seuil des 10.000 particuliers poursuivis en justice au nom des majors du disque : Warner, Universal Music, EMI, Sony, BMG.
Comme toujours la diffusion, le partage et l'échange gratuits d'œuvres musicales sous copyright par le biais de services P2P (KaZaa, eDonkey et Grokster) sont montrés du doigt.
La RIAA qui entend faire respecter les droits d'auteur conformément au Digital Millennium Copyright Act (DMCA) identifie les suspects via les adresses IP utilisées et passe par une procédure judiciaire "contre X" (les "John Doe").
Parallèlement aux plaintes déposées en Californie, Colorado, Georgie, Missouri, New York, Pennsylvanie, Virginie et dans le district de Columbia, les maisons de disque ont porté plainte contre 200 suspects dont les noms ont été directement communiqués par des fournisseurs d'accès à Internet ! C'est la nouveauté.
Ces plaintes viennent s'ajouter aux poursuites engagées mi-avril 2005 contre 405 étudiants accusés d'avoir diffusé et téléchargé sans autorisation plus de 1,5 million de fichiers par le biais de l'accès Internet2 de leurs universités et de "i2hub".
"Ces poursuites constituent une composante essentielle de notre campagne visant à décourager le téléchargement illégal, d'une part, à encourager les amateurs de musique à se tourner vers les sites de musique légaux, d'autre part", a déclaré le Président de la RIAA, Cary SHERMAN, en référence aux plates-formes propriétaires sous DRM (iTMS, Connect...)
Toujours plus ? L'organisation américaine du disque annonce avoir déposé 725 nouvelles plaintes contre des internautes accusés de partage illégal de fichiers musicaux.
Résultat, la RIAA (Recording Industry Association of America) a franchi en 18 mois de campagne contre le piratage le seuil des 10.000 particuliers poursuivis en justice au nom des majors du disque : Warner, Universal Music, EMI, Sony, BMG.
Comme toujours la diffusion, le partage et l'échange gratuits d'œuvres musicales sous copyright par le biais de services P2P (KaZaa, eDonkey et Grokster) sont montrés du doigt.
La RIAA qui entend faire respecter les droits d'auteur conformément au Digital Millennium Copyright Act (DMCA) identifie les suspects via les adresses IP utilisées et passe par une procédure judiciaire "contre X" (les "John Doe").
Parallèlement aux plaintes déposées en Californie, Colorado, Georgie, Missouri, New York, Pennsylvanie, Virginie et dans le district de Columbia, les maisons de disque ont porté plainte contre 200 suspects dont les noms ont été directement communiqués par des fournisseurs d'accès à Internet ! C'est la nouveauté.
Ces plaintes viennent s'ajouter aux poursuites engagées mi-avril 2005 contre 405 étudiants accusés d'avoir diffusé et téléchargé sans autorisation plus de 1,5 million de fichiers par le biais de l'accès Internet2 de leurs universités et de "i2hub".
"Ces poursuites constituent une composante essentielle de notre campagne visant à décourager le téléchargement illégal, d'une part, à encourager les amateurs de musique à se tourner vers les sites de musique légaux, d'autre part", a déclaré le Président de la RIAA, Cary SHERMAN, en référence aux plates-formes propriétaires sous DRM (iTMS, Connect...)
