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A l'occasion de la publication de ses résultats trimestriels, le groupe Vivendi Universal annonce un retour à la croissance pour ses quatre secteurs d'activité.
Après la restructuration, place à la croissance. A l'occasion de la publication de ses résultats trimestriels, le groupe Vivendi Universal, désormais recentré sur les télécoms et les médias, annonce un retour à la croissance pour ses quatre secteurs d'activité et un changement de DG avec l'arrivée de Jean-Bernard Lévy en remplacement de Jean-René Fourtou qui se limitera désormais au rôle de président du conseil de surveillance.
Le groupe fait état d'un chiffre d'affaires de 4.76 Md€ en hausse de 8.6% sur un an. Après avoir frôlé la faillite sous le règne de Jean-Marie MESSIER, VU annonce une croissance de l'ensemble de ses filiales : Universal (+ 14%), Jeux (+ 47%), SFR Cegetel +(7%) mais également la télévision à péage où Canal+ affiche un timide +1%
Redressé et ayant réduit sa dette à 4 milliards d'euros, le groupe semble envisager la fusion de ses activités de téléphonie fixe avec Neuf Telecom mais devrait toutefois conserver ses actifs dans la téléphonie mobile malgré la pression de Vodafone.
Le groupe vise un résultat net de 1.8 milliards d'euros en 2005 et de 2 milliards d'euros en 2006. Reste à savoir si Vivendi profitera de ce cash pour réaliser de nouvelles acquisitions et si il se décidera un jour entre son statut d'opérateur télécom ou de groupe de médias.
Après la restructuration, place à la croissance. A l'occasion de la publication de ses résultats trimestriels, le groupe Vivendi Universal, désormais recentré sur les télécoms et les médias, annonce un retour à la croissance pour ses quatre secteurs d'activité et un changement de DG avec l'arrivée de Jean-Bernard Lévy en remplacement de Jean-René Fourtou qui se limitera désormais au rôle de président du conseil de surveillance.
Le groupe fait état d'un chiffre d'affaires de 4.76 Md€ en hausse de 8.6% sur un an. Après avoir frôlé la faillite sous le règne de Jean-Marie MESSIER, VU annonce une croissance de l'ensemble de ses filiales : Universal (+ 14%), Jeux (+ 47%), SFR Cegetel +(7%) mais également la télévision à péage où Canal+ affiche un timide +1%
Redressé et ayant réduit sa dette à 4 milliards d'euros, le groupe semble envisager la fusion de ses activités de téléphonie fixe avec Neuf Telecom mais devrait toutefois conserver ses actifs dans la téléphonie mobile malgré la pression de Vodafone.
Le groupe vise un résultat net de 1.8 milliards d'euros en 2005 et de 2 milliards d'euros en 2006. Reste à savoir si Vivendi profitera de ce cash pour réaliser de nouvelles acquisitions et si il se décidera un jour entre son statut d'opérateur télécom ou de groupe de médias.
