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Après le W-CDMA des Européens et le CDMA2000 des américains, ce serait au tour des chinois de travailler sur leur propre technologie 3G baptisée TD-SCDMA
L'UMTS ne sera jamais Universel. Après le W-CDMA des Européens et le CDMA2000 des américains, ce serait au tour des chinois de travailler sur leur propre technologie 3G baptisée TD-SCDMA.
Longtemps retardée, les infrastructures TD-SCDMA devrait être disponibles dès le mois de juillet mais il faudrait attendre la fin de l'année pour voir apparaître les premiers terminaux offrant un débit de 384 kb/s. Selon ses promoteurs, le TD-SCDMA serait moins cher à déployer et nécessiterait des terminaux plus économiques et moins gourmands en énergie.
Contrairement aux pays occidentaux, la Chine n'a pas encore déployé ses infrastructures 3G et pourrait profiter de son énorme marché intérieur de plus de 340 millions d'abonnés pour s'affranchir des grands équipementiers européens, japonais ou nord-américains en optant pour le TD-SCDMA.
Loin d'être un simple réservoir de main d'œuvre bon marché, la Chine démontre ainsi son potentiel dans les hautes technologies mais devrait toutefois éprouver quelques difficultés à vendre sa technologie en dehors de ses frontières. Du moins dans un premier temps.
L'UMTS ne sera jamais Universel. Après le W-CDMA des Européens et le CDMA2000 des américains, ce serait au tour des chinois de travailler sur leur propre technologie 3G baptisée TD-SCDMA.
Longtemps retardée, les infrastructures TD-SCDMA devrait être disponibles dès le mois de juillet mais il faudrait attendre la fin de l'année pour voir apparaître les premiers terminaux offrant un débit de 384 kb/s. Selon ses promoteurs, le TD-SCDMA serait moins cher à déployer et nécessiterait des terminaux plus économiques et moins gourmands en énergie.
Contrairement aux pays occidentaux, la Chine n'a pas encore déployé ses infrastructures 3G et pourrait profiter de son énorme marché intérieur de plus de 340 millions d'abonnés pour s'affranchir des grands équipementiers européens, japonais ou nord-américains en optant pour le TD-SCDMA.
Loin d'être un simple réservoir de main d'œuvre bon marché, la Chine démontre ainsi son potentiel dans les hautes technologies mais devrait toutefois éprouver quelques difficultés à vendre sa technologie en dehors de ses frontières. Du moins dans un premier temps.