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Accusée d'avoir porté préjudice au maroquinier français Vuitton, la société Internet américaine a été condamnée par le TGI de Paris à verser 200.000 euros.
Le luxe ne marchande pas ! Google a été condamné à verser 200.000 euros de dommages et intérêts au maroquinier français Louis Vuitton pour "contrefaçon, concurrence déloyale et publicité mensongère."
Le TGI de Paris a estimé que le moteur de recherche Internet a commis une faute en proposant à travers son service de liens sponsorisés AdWords l'achat de mots clés (imitation, copie...) pouvant être associés avec les marques Vuitton.
C'est la troisième fois que la société américaine est épinglée par la justice française pour avoir porté préjudice à des marques déposées (Hôtels Méridien, Bourse des Vols et Vuitton) à travers son service AdWords (https://adwords.google.com/).
Dans le cas Vuitton, l'exécution provisoire du jugement rendu le 4 février 2005 impose le versement immédiat de 100.000 euros au plaignant, même si Google décide de faire appel.
La somme ne représente pas grand chose par rapport aux millions de dollars de revenus générés par Google. Mais, la condamnation implique également que les marques de la société Vuitton ne soient plus détournées à travers AdWords sur tous les sites du moteur, soit de www.google.com à www.google.co.jp...
Une affaire similaire est actuellement en cours, le plaignant : AXA.
Le luxe ne marchande pas ! Google a été condamné à verser 200.000 euros de dommages et intérêts au maroquinier français Louis Vuitton pour "contrefaçon, concurrence déloyale et publicité mensongère."
Le TGI de Paris a estimé que le moteur de recherche Internet a commis une faute en proposant à travers son service de liens sponsorisés AdWords l'achat de mots clés (imitation, copie...) pouvant être associés avec les marques Vuitton.
C'est la troisième fois que la société américaine est épinglée par la justice française pour avoir porté préjudice à des marques déposées (Hôtels Méridien, Bourse des Vols et Vuitton) à travers son service AdWords (https://adwords.google.com/).
Dans le cas Vuitton, l'exécution provisoire du jugement rendu le 4 février 2005 impose le versement immédiat de 100.000 euros au plaignant, même si Google décide de faire appel.
La somme ne représente pas grand chose par rapport aux millions de dollars de revenus générés par Google. Mais, la condamnation implique également que les marques de la société Vuitton ne soient plus détournées à travers AdWords sur tous les sites du moteur, soit de www.google.com à www.google.co.jp...
Une affaire similaire est actuellement en cours, le plaignant : AXA.
