0
Nicole FONTAINE, ministre déléguée à l'industrie, a confié vendredi à Fabrice FRIES, conseiller référendaire à la Cour des Comptes, une mission d'étude et de propositions concernant l'industrie française du jeu vidéo, industrie vivante mais fragilisée par une conjoncture défavorable.
"Cette industrie emploie en France de nombreux salariés, jeunes pour la plupart, chez de grands éditeurs qui produisent et commercialisent les jeux, ainsi que dans de nombreuses PME, notamment celles spécialisées dans la phase de développement", a souligné Nicole FONTAINE.
Les sociétés françaises Infogrames, Vivendi Games et Ubisoft, font partie des dix premiers concepteurs et éditeurs de Jeux Vidéo au niveau mondial.
Malheureusement, a ajouté la ministre, "depuis l'éclatement de la 'bulle Internet' qui a tari l'accès à plusieurs sources de financement, ce secteur connaît des difficultés."
La mission de Fabrice FRIES consistera donc "à évaluer, en concertation avec les organisations professionnelles du jeu vidéo et les administrations concernées, la faisabilité des dispositifs proposés aux pouvoirs publics (fonds d'investissement avec garantie financière), et à formuler des propositions alternatives."
Cette mission s'inscrit dans le cadre du plan national de soutien à l'industrie du jeu vidéo présenté en avril 2003 par le Premier ministre. A cette occasion, Jean-Pierre RAFFARIN a réaffirmé l'importance du domaine, et a souligné que "pour faire du jeu vidéo un secteur stratégique de la société numérique, l'engagement des pouvoirs publics est une nécessité."
Conformément à ce plan, le ministère délégué à l'industrie et le ministère de la culture ont lancé le 18 juillet dernier un appel à projets pour la pré-production de jeux vidéo. De son côté, le chargé de mission Fabrice FRIES devra transmettre ses commentaires à Nicole FONTAINE avant la fin de l'année 2003.
"Cette industrie emploie en France de nombreux salariés, jeunes pour la plupart, chez de grands éditeurs qui produisent et commercialisent les jeux, ainsi que dans de nombreuses PME, notamment celles spécialisées dans la phase de développement", a souligné Nicole FONTAINE.
Les sociétés françaises Infogrames, Vivendi Games et Ubisoft, font partie des dix premiers concepteurs et éditeurs de Jeux Vidéo au niveau mondial.
Malheureusement, a ajouté la ministre, "depuis l'éclatement de la 'bulle Internet' qui a tari l'accès à plusieurs sources de financement, ce secteur connaît des difficultés."
La mission de Fabrice FRIES consistera donc "à évaluer, en concertation avec les organisations professionnelles du jeu vidéo et les administrations concernées, la faisabilité des dispositifs proposés aux pouvoirs publics (fonds d'investissement avec garantie financière), et à formuler des propositions alternatives."
Cette mission s'inscrit dans le cadre du plan national de soutien à l'industrie du jeu vidéo présenté en avril 2003 par le Premier ministre. A cette occasion, Jean-Pierre RAFFARIN a réaffirmé l'importance du domaine, et a souligné que "pour faire du jeu vidéo un secteur stratégique de la société numérique, l'engagement des pouvoirs publics est une nécessité."
Conformément à ce plan, le ministère délégué à l'industrie et le ministère de la culture ont lancé le 18 juillet dernier un appel à projets pour la pré-production de jeux vidéo. De son côté, le chargé de mission Fabrice FRIES devra transmettre ses commentaires à Nicole FONTAINE avant la fin de l'année 2003.
