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Après Les Minutes (www.lesminutes.com) et Expat Telecom (www.expat-telecom.com), la société montpelliéraine spécialisée dans la réduction de factures télécoms Budget Telecom, lance DomTom Telecom (www.domtom-telecom.com).
Ce service de téléphonie à bas prix concerne, comme son nom l'indique, les appels passés entre les Départements et territoires d'Outre-mer et la métropole.
Le modèle économique adopté par Budget est basé sur l'achat de minutes en gros et la gestion des clients via Internet, dans le cas présent à travers le site web domtom-telecom.com.
Ce modèle permet à Budget, à la fois portail/comparateur télécoms et opérateur "nouvelle génération", de proposer des tarifs attractifs aux particuliers comme aux entreprises, pour leurs communications fixes et/ou mobiles.
La direction de Budget Telecom affirme dans un communiqué que les tarifs en vigueur sur DomTom Telecom sont "généralement inférieurs de 50%" à ceux proposés par , l'opérateur historique, ou par , opérateur privé de télécommunications.
Quelques exemples de tarifs DomTom Telecom : un appel de la Guadeloupe ou de Martinique, Guyane, Réunion (groupe 1) vers la métropole coûte 0,12 euro TTC ; de Polynésie française 0,41 euro et de Nouvelle Calédonie 0,51 euro. Dans l'autre sens, un appel de la métropole vers le groupe 1 est facturé 0,15 euro TTC ; un appel vers la Polynésie fr. 0,40 euro et vers la Nouvelle Calédonie 0,50 euro.
Pour ce nouveau service, Budget Telecom a choisi de conserver la recette qui a fait le succès des "Minutes", soit : des prix cassés, à la manière des voyagistes online, l'activation immédiate de la ligne et le compte rechargeable du client autogéré sur Internet, des relevés détaillés pour les appels et les services annexes...
"Indépendant" des opérateurs, Budget Telecom (www.budgetelecom.com) assure son financement par la vente de minutes de téléphones "invendues", mais aussi par l'intermédiation (abonnements), la pub et les prestations de conseil aux entreprises.
Créée en 1999 par Khaled ZOURRAY associé à Pascale GREPPO, Budget Telecom SA est soutenue par le fonds d'investissement britannique Frontiers Capital, affilié à The Phone House, et par le fonds d'investissement SPEF du groupe Banque Populaire.
Ce service de téléphonie à bas prix concerne, comme son nom l'indique, les appels passés entre les Départements et territoires d'Outre-mer et la métropole.
Le modèle économique adopté par Budget est basé sur l'achat de minutes en gros et la gestion des clients via Internet, dans le cas présent à travers le site web domtom-telecom.com.
Ce modèle permet à Budget, à la fois portail/comparateur télécoms et opérateur "nouvelle génération", de proposer des tarifs attractifs aux particuliers comme aux entreprises, pour leurs communications fixes et/ou mobiles.
La direction de Budget Telecom affirme dans un communiqué que les tarifs en vigueur sur DomTom Telecom sont "généralement inférieurs de 50%" à ceux proposés par , l'opérateur historique, ou par , opérateur privé de télécommunications.
Quelques exemples de tarifs DomTom Telecom : un appel de la Guadeloupe ou de Martinique, Guyane, Réunion (groupe 1) vers la métropole coûte 0,12 euro TTC ; de Polynésie française 0,41 euro et de Nouvelle Calédonie 0,51 euro. Dans l'autre sens, un appel de la métropole vers le groupe 1 est facturé 0,15 euro TTC ; un appel vers la Polynésie fr. 0,40 euro et vers la Nouvelle Calédonie 0,50 euro.
Pour ce nouveau service, Budget Telecom a choisi de conserver la recette qui a fait le succès des "Minutes", soit : des prix cassés, à la manière des voyagistes online, l'activation immédiate de la ligne et le compte rechargeable du client autogéré sur Internet, des relevés détaillés pour les appels et les services annexes...
"Indépendant" des opérateurs, Budget Telecom (www.budgetelecom.com) assure son financement par la vente de minutes de téléphones "invendues", mais aussi par l'intermédiation (abonnements), la pub et les prestations de conseil aux entreprises.
Créée en 1999 par Khaled ZOURRAY associé à Pascale GREPPO, Budget Telecom SA est soutenue par le fonds d'investissement britannique Frontiers Capital, affilié à The Phone House, et par le fonds d'investissement SPEF du groupe Banque Populaire.
