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Les autorités françaises ont annoncé lundi le lancement du deuxième appel à candidatures pour les deux licences UMTS encore disponibles.
Le secrétaire d'Etat à l'Industrie Christian PIERRET a lancé le second appel à candidatures pour l'attribution de deux licences de téléphonie mobile de troisième génération (UMTS) encore disponibles en France.
Les modalités et conditions d'attribution de ces deux licences, qui viennent s'ajouter aux licences accordées le 31 mai dernier à SFR (Vivendi Universal) et Orange (France Télécom), ont été publiées lundi 31 décembre au Journal Officiel.
Le secrétariat d'Etat à l'Industrie a précisé que les dossiers de candidatures "devront être déposés auprès de l'Autorité de régulation des télécommunications (ART) avant le 16 mai 2002."
Le ministre de l'Economie et des Finances Laurent FABIUS avait annoncé lui-même, en plein débat parlementaire sur le budget 2002, l'ouverture prochaine de cette procédure.
La France avait initialement prévu d'attribuer quatre licences UMTS au printemps 2001, mais une pénurie de candidats avait forcé les pouvoirs publics à n'en délivrer qu'aux deux seuls opérateurs à avoir postulé.
Pour assurer le succès de l'appel d'offres concernant les deux licences restantes, le gouvernement a drastiquement réduit mi-octobre leur prix et appliqué rétroactivement cette baisse à SFR et Orange.
Le prix initial de 4,95 milliards d'euros a été ramené à un 'ticket d'entrée' de 619 millions d'euros, plus une partie variable liée au chiffre d'affaires généré par l'activité UMTS de chaque opérateur.
La durée des licences a également été allongée, passant de 15 à 20 ans, conformément aux demandes des opérateurs qui jugeaient leur durée de validité trop courte pour en amortir le prix.
Les futurs services UMTS 'grand public' sont attendus pour 2003-2004, et non cette année comme le prévoyait le calendrier de départ...
Le secrétaire d'Etat à l'Industrie Christian PIERRET a lancé le second appel à candidatures pour l'attribution de deux licences de téléphonie mobile de troisième génération (UMTS) encore disponibles en France.
Les modalités et conditions d'attribution de ces deux licences, qui viennent s'ajouter aux licences accordées le 31 mai dernier à SFR (Vivendi Universal) et Orange (France Télécom), ont été publiées lundi 31 décembre au Journal Officiel.
Le secrétariat d'Etat à l'Industrie a précisé que les dossiers de candidatures "devront être déposés auprès de l'Autorité de régulation des télécommunications (ART) avant le 16 mai 2002."
Le ministre de l'Economie et des Finances Laurent FABIUS avait annoncé lui-même, en plein débat parlementaire sur le budget 2002, l'ouverture prochaine de cette procédure.
La France avait initialement prévu d'attribuer quatre licences UMTS au printemps 2001, mais une pénurie de candidats avait forcé les pouvoirs publics à n'en délivrer qu'aux deux seuls opérateurs à avoir postulé.
Pour assurer le succès de l'appel d'offres concernant les deux licences restantes, le gouvernement a drastiquement réduit mi-octobre leur prix et appliqué rétroactivement cette baisse à SFR et Orange.
Le prix initial de 4,95 milliards d'euros a été ramené à un 'ticket d'entrée' de 619 millions d'euros, plus une partie variable liée au chiffre d'affaires généré par l'activité UMTS de chaque opérateur.
La durée des licences a également été allongée, passant de 15 à 20 ans, conformément aux demandes des opérateurs qui jugeaient leur durée de validité trop courte pour en amortir le prix.
Les futurs services UMTS 'grand public' sont attendus pour 2003-2004, et non cette année comme le prévoyait le calendrier de départ...
