En direct de Berlin. Philips entre cette année de plein pied dans l'arène de la 3D en annonçant notamment le téléviseur « Cinema 21:9 Platinum ». Ce nouveau modèle est comme son nom l'indique une mise à niveau d'un modèle existant, dont il reprend d'ailleurs l'essentiel de la fiche technique en lui apportant donc la prise en charge de la 3D ainsi que quelques améliorations.
Il ne manquait effectivement à son prédécesseur que le transmetteur communiquant avec les lunettes à obturation pour pouvoir restituer du relief, puisqu'il affichait déjà un taux de rafraichissement de 200 Hz. Le nouveau modèle double néanmoins la cadence en offrant désormais la fonction 400 Hz Clear LCD. Le fabricant a d'ailleurs confirmé son approche à la carte puisque les lunettes seront à nouveau en option.
L'édition « Platinum » bénéficie en outre de l'environnement connecté Net TV, offrant l'accès à de multiples services en ligne tels que l'offre de vidéo à la demande de Vidéo Futur en France, en plus de l'inévitable YouTube et de réseaux sociaux. Notons que Net TV est également intégré aux téléviseurs de Sharp et de Loewe. Une initiative louable dans cette jungle d'environnements propriétaires, dans laquelle la concurrence entre les fabricants se fait au détriment des consommateurs. Une nouvelle fonction baptisée Multi-view permet d'ailleurs de profiter d'une application Net TV en même temps qu'une autre source.
Sur le plan technique, le « Cinema 21:9 Platinum » se destine aux cinéphiles puisqu'il affiche sur une diagonale de 58 pouces un rapport hauteur/largeur de 21 pour 9, correspondant aux proportions d'un film de cinéma. Un tel film s'affichera donc sans aucune bande noire, au contraire d'un programme de télévision 16:9 qui sera entouré de bandes latérales et qui ne mesurera alors qu'environ 46 pouces de diagonale.
On retrouve enfin la fonction Ambilight Spectra qui illumine les murs des couleurs affichées à l'écran.
Le téléviseur « Philips Cinema 21:9 Platinum » est commercialisé dès aujourd'hui en France au prix public de 4 000 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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