Acer a annoncé vendredi le renouvellement de son écran 3D pour joueur. Le nouveau « GN245HQ » succède effectivement au GD245HQ, lancé il y a un peu moins d'un an et testé peu après dans nos colonnes, en apportant principalement l'intégration de l'émetteur infrarouge essentiel à la solution NVIDIA 3D Vision.
Parler d'écran 3D est en fait un brin usurpé. C'est effectivement une paire de lunettes à obturateurs LCD, en l'occurrence celle de NVIDIA, qui assure la séparation des images que l'écran se contente quant à lui d'afficher successivement.
Pour ce faire, l'écran offre néanmoins un taux de rafraichissement de 120 Hz, de quoi bénéficier de l'habituel 60 Hz par œil. On retrouve également une diagonale de 24 pouces (61 cm), une définition Full HD (1920 x 1080 pixels) et un temps de réponse de 2 millisecondes. Autant de caractéristiques qui en font un fidèle héritier de son aîné. Le fabricant revendique par ailleurs un taux de contraste dynamique démentiel de 100 millions pour un.
Seconde et dernière nouveauté, l'adoption de la norme 1.4a pour l'entrée HDMI. L'entrée HDMI 1.3 de son prédécesseur ne prenait pas en charge le taux de rafraichissement de 120 Hz et donc pas la 3D. On pouvait alors seulement compter sur son entrée DVI, qui reste malgré tout au programme.
L'« Acer GN245HQ » devrait être mis en vente en Europe dans les jours qui viennent au prix public conséquent de 430 euros... Auxquels s'ajoutent encore le prix d'une ou plusieurs paires de lunettes.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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