La vente de mobile par Free Mobile est devenue intéressante du jour au lendemain, voire même décisive pour la souscription d'un forfait, suite à des baisses de 15 à 30 % de leur prix de vente.
La plupart des smartphones que vend Free Mobile étaient jusqu'à présent plus chers que dans le reste du commerce. Il n'y avait donc aucun intérêt à acheter un nouveau terminal chez le quatrième opérateur, si ce n'était pour profiter gratuitement d'un paiement échelonné sur 12 à 24 mois.
La donne a changé avec les tarifs qui sont récemment entrés en vigueur en toute discrétion :
le Huawei U8350 passe de 120,76 à 101,80 euros soit une baisse de 16 %
le ZTE Blade S passe de 144,76 à 119,80 euros soit une baisse de 17 %
le Samsung Galaxy Y passe de 144,76 à 101,80 euros soit une baisse de 30 %
le Samsung Galaxy Ace passe de 220,76 à 167,80 euros soit une baisse de 24 %
le BlackBerry Curve 3G passe de 210,76 à 189,88 euros soit une baisse de 10 %
le Samsung Galaxy S II passe enfin de 479 à 399 euros, soit une baisse de 17 %
Ce dernier par exemple, qui intéresse bon nombre de technophiles, se négocie environ 450 euros dans le reste du commerce. D'un prix supérieur, il passe donc soudainement à un prix sensiblement inférieur. Même si celui-ci n'est proposé qu'en paiement comptant, c'est suffisant pour réduire significativement la facture globale et faire pencher la balance face à une concurrence devenue depuis compétitive. L'histoire ne garantit pas, en revanche, qu'il ne s'agisse pas d'une variante G.
À l'exception du Galaxy S II, tous les autres smartphones sont payables en 12 ou 24 mois sans frais.
L'achat d'un téléphone chez Free Mobile ne se fait pas à la souscription, comme c'est généralement le cas chez la concurrence, mais à postériori, immédiatement après ou bien plus tard, depuis la rubrique « Téléphones » de l'espace abonné. Les tarifs susmentionnés sont d'ores et déjà en vigueur.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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