Qui l'eu cru ? Après que Free ait révolutionné la téléphonie mobile, Orange révolutionne aujourd'hui la téléphonie fixe ! L'opérateur historique annonce effectivement le renouvellement de son offre « Optimale », qui date d'il y a quatre ans tout de même, et qui inclut désormais les appels vers les mobiles.
Aussi et peut-être surtout, ces offres seront désormais commercialisées sous la marque Orange, et non plus sous la marque France Télécom... Tout un symbole !
La gamme « Optimale » se décline donc ainsi :
Optimale 2h à 20 euros/mois
Optimale 4h à 26 euros/mois (contre 3h à 30 euros/mois)
Optimale illimité à 40 euros/mois
Les paliers et leurs tarifs évoluent donc à peine, mais le temps de communication vaut désormais vers les fixes de 100 destinations quelque soit l'offre, alors que l'international était jusqu'à présent réservé aux offres Optimale 3h et Optimale illimité, mais aussi vers les mobiles de France métropolitaine, ce qui était jusqu'à présent réservé à l'Optimale 3h.
La gamme Optimale inclut quoi qu'il en soit l'abonnement à une ligne analogique France Télécom (autrement facturée 16 euros/mois), le transfert d'appel (option habituellement facturée 1,50 euros/mois, la mise en relation reste facturée 0,11 euro/appel puis réacheminement décompté du forfait), la présentation du nom (2,30 euro/mois) et le double appel (1,50 euro/mois).
Pour justifier de tels tarifs, qui égalent jusqu'à celui d'une offre triple play haut de gamme, Orange met sans surprise l'accent sur « la même qualité de réseau et de service qu'auparavant », reposant sur « plus de 12 000 techniciens d'intervention, plus de 11 000 conseillers en service clients et 720 conseillers espaces services en boutique Orange ».
Reste que la nouvelle gamme « Optimale » comble la fracture qui existait entre les offres triple play incluant les appels vers les mobiles et les offres de téléphonie traditionnelles, destinées aux personnes qui ne souhaitent pas d'accès Internet ou y accèdent autrement qu'en ADSL.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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