Samsung prépare le lancement d'une batterie étendue pour Galaxy S III, permettant de rallonger son autonomie au prix d'une légère augmentation du poids et de l'épaisseur.
La batterie n'est plus amovible dans de nombreux smartphones, depuis l'avènement de l'iPhone. Cette approche permet de concevoir des terminaux monoblocs plus solides et/ou plus esthétiques. Pour autant, la batterie reste l'un des composants les moins endurants d'un téléphone mobile, et certains utilisateurs apprécient de pouvoir la remplacer eux même. Cela permet aussi de moduler sa capacité.
Ainsi, alors que Motorola demande à ses clients de choisir une bonne fois pour toute entre l'édition « Maxx » et l'édition standard, Samsung permet de mettre à niveau son smartphone emblématique, le Galaxy S3.
Le distributeur britannique MobileFun a effectivement référencé un « Extended Battery Kit » d'origine Samsung pour Galaxy S3, qu'il vend 40 livres, soit environ 50 euros. Entre temps, le site Internet d'actualité AndroidCentral s'est procuré une photo de l'emballage, sur lequel apparait le nom de l'accessoire en français : « Kit extension de batterie ».
Le kit comprend une batterie de 3000 mAh, d'une capacité sensiblement plus importante que celle d'origine (2100 mAh). Un capot arrière de remplacement est donc fourni, pour accueillir l'épaisseur plus élevée. Reste qu'une augmentation d'autonomie de 50 % ne changera pas tellement la donne : il restera difficile d'enchainer deux journées entières sans recharger son mobile. Mais on pourra l'utiliser plus intensivement pendant une journée chargée.
Aucune date ni aucun prix n'ont été annoncés officiellement, mais la véracité de l'information ne fait aucun doute, le kit devrait bientôt être lancé en Europe. Notons que des fabricants tiers proposent déjà des batteries atteignant 4500 mAh.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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