Samsung occupe le terrain, en attendant l'annonce du successeur de l'emblématique Galaxy S II, en n'annonçant qu'aujourd'hui, une semaine après le Mobile World Congress, le « Galaxy Pocket ».
À défaut d'autre point fort, ce nouveau smartphone Android premier prix met comme son nom l'indique l'accent sur une grande compacité. Avec son écran tactile capacitif QVGA (320 x 240 pixels) de 2,8 pouces comme on n'en trouve plus, il ne mesure effectivement que 103,7 x 57,5 x 12 mm pour 97 g, ce qui en fait l'un des smartphones les plus petits et les plus légers.
On retrouve par ailleurs à peine plus que le minimum syndical pour un smartphone contemporain, avec un SoC cadencé à 832 MHz, une quantité non communiquée de mémoire vive et une quantité inhabituelle de 3 Go de mémoire interne, extensible par le biais d'une carte microSDHC (jusqu'à 32 Go).
Au-delà du capteur dorsal photographiant à 2 millions de pixels et filmant en QVGA à 15 i/s, la connectivité et les capteurs sont malgré tout complets avec de la 3G+ quadri-bande jusqu'à 3,6 Mbps, du Wi-Fi N et du Bluetooth 3.0 d'une, un GPS, un compas électronique et un accéléromètre d'autre part.
L'ensemble exécute enfin Android 2.3 Gingerbread avec l'interface personnalisée maison TouchWizz. Ce « Samsung Galaxy Pocket » sera commercialisé en Europe d'ici la fin du mois de mars au prix public de 140 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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