Un an et demi après l'arrivée de son premier bracelet Up, Jawbone passe la troisième avec son Up3. Succédant au Up24 que nous testions il y a quelques mois (voir 15 jours avec le Jawbone UP24, un bracelet connecté), il en reprend les grandes lignes en améliorant certains aspects.
À commencer par la mesure du rythme cardiaque, absente du Up24. Et alors que la plupart des bracelets connectés s'appuient sur la mesure via une lumière pulsée, le Up3 utilise la réponse de la peau (courant galvanique) et le capteur de température pour déterminer, plus précisément d'après Jawbone, le nombre de battements de votre cœur.
Le Up3 offre également un suivi du sommeil plus abouti, avec des statistiques plus poussées sur vos sommeils léger, paradoxal, profond. Autre avantage : ce bracelet n'existe qu'en une taille, et s'adapte à toutes les morphologies.
Disposant, comme son prédécesseur, d'un accéléromètre sur 3 axes et d'un capteur de température ambiante, capable de résister à une profondeur de 10m, le Up3 ne propose en revanche toujours pas de GPS intégré, pas plus que d'écran, comme peut le faire le Band de Microsoft.
Il est en revanche plus fin et plus léger et n'affiche que 29 grammes sur la balance. Jawbone annonce une autonomie de 7 jours au maximum. Ce bracelet devrait arriver d'ici à la fin de l'année en version noire et grise, et Jawbone promet l'arrivée d'autres couleurs en 2015. Le prix de cet Up3 : 180 euros.
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Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
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