CoolerMaster lance une série de boîtiers peu onéreux, la série N avec les modèles N200, N400 et N600. Le boîtier N200, présenté ci-dessous, accepte les cartes mères au format micro-ATX et peut même s'accommoder des systèmes de watercooling. Avec une prise d'air en façade et des ports USB, dont de l'USB 3.0, les boîtiers de cette série devraient être proposés, outre-atlantique, dans une fourchette de prix entre 40 et 60 dollars. A noter un découpage derrière l'emplacement du processeur ou encore des emplacements pour guider les câbles.
CoolerMaster présente dans une autre gamme l'ATCS 710, un boîtier tour ATX tout en aluminium qui a un petit quelque chose de rétro. Il comporte 4 emplacements 5.25" et 6 emplacements 3.5" avec des ports USB 2.0 et 3.0 en façade. CoolerMaster propose une cage extractible pour certains emplacements 3.5". Puisqu'il est question de façade, notez qu'il est possible de retirer la porte qui masque les deux ventilateurs présents à l'avant du boîtier.
CoolerMaster propose dans la foulée une révision de son boîtier Storm Scout 2, déclinée en version noire ou blanche et avec pour seule nouveauté deux ventilateurs additionnels dotés de LED.
Quant au fameux Centurion de CoolerMaster il s'offre un successeur avec le Centurion 6 ! En acier et aluminium, ce nouveau boîtier tour ATX propose 3 baies 5.25", 7 baies 3.5" et 4 emplacements 2.5" (à partir de 2 emplacements 3.5"). On retrouve 2 ports USB 3.0 et 2 ports USB 2.0 en façade et CoolerMaster a prévu divers emplacements pour monter des radiateurs au sein de la tour.
Les prix et date de disponibilité de ces différents nouveaux boîtiers n'ont pas été communiqués pour le marché européen.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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