CES 2013 : Polaroid lance une copie du Nikon 1 sous Android

09 janvier 2013 à 07h24
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En direct de Las Vegas. Polaroid a profité du CES 2013 pour lancer trois appareils photo à objectif interchangeable, dont un fonctionne sous Android.

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Polaroid, qui commercialise depuis quelques années des produits chinois vendus en marque blanche, a trouvé le moyen d'attirer à nouveau l'attention : copier sans vergogne les réussites de ses concurrents.

Le représentant de Polaroid préfère parler de « similarité », mais les appareils photo de la gamme « iM » sont indéniablement des copies des Nikon 1, jusqu'à la typographie de la focale de l'objectif.

Ils proposent néanmoins une approche différente, moins qualitative, puisque l'objectif amovible 10-30 mm (on ne connait pas l'équivalence) embarque également le capteur. L'approche rappelle celle de la famille Ricoh GXR, mais il n'y ici la place que pour des capteurs d'appareils photo compact. Mais l'encombrement est bien celui d'un hybride.

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Les iM1030 et iM1232 abritent un capteur de 18 millions de pixels, filment en HD (sans plus de précision) et disposent d'un écran non tactile de 3,5 pouces. Le second modèle dispose d'une connectivité Wi-Fi, permettant de transmettre les photos à un smartphone en vue d'un partage en ligne.

L'iM1836 repose quant à lui sur Android 4.1. Son écran tactile capacitif de 3,5 pouces permet d'accéder au Google Play Store et donc d'installer puis d'utiliser toutes sortes d'applications, liées ou non à la photo.

Les « Polaroid iM1030, iM1232 et iM1836 » seront commercialisés aux États-Unis au mois de mars pour respectivement 280, 300 et 350 dollars.

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Romain Heuillard

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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