Un an après avoir lancé le GM1, plus petit hybride au monde, Panasonic présente cette année à la Photokina le GM5, une variante qui revendique quant à elle le titre de « plus petit hybride à viseur électronique au monde ».
Le nouveau Panasonic Lumix DMC-GM5 est la plus simple des trois nouveautés du fabricant, puisque l'appareil n'est qu'un GM1 enrichi d'un viseur, mais elle soulève malgré tout quelques interrogations.
Le GM5 reprend bel et bien la quasi-totalité de la fiche technique du GM1, exception faite de l'écran tactile de 3 pouces qui passe de 720 x 480 pixels à 640 x 480 pixels, soit un recul de 1 036 800 à 921 600 points.
Le seul apport du GM5 est donc son modeste viseur électronique, celui du GX7, affichant une définition de 720 x 540 pixels (soit 1,16 million de points) et offrant en l'occurrence un grossissement de 0,46x (contre 0,7x sur d'autres compacts à viseurs électroniques).
Ce viseur protubérant entraine une augmentation de la hauteur du boîtier de 4 mm. C'est à la fois assez peu pour chasser le flash intégré, et suffisant pour espérer une amélioration de l'ergonomie. L'appareil accueille à ce titre une nouvelle molette de réglage sur le dessus. Mais la roue cerclant jusqu'alors le pavé directionnel disparait quant à elle, et si un bouton semble faire son apparition sur la face arrière, ils n'est en fait qu'exproprié de la face supérieure. Enfin le flash amovible fourni en contrepartie n'est pas articulé, comme il l'est chez d'autres fabricants, et augmente donc considérablement l'encombrement de l'appareil.
Pour autant, le GM5 satisfera certainement de nombreux amateurs éclairés qui préfèrent un viseur à un flash intégré, pour la prise en main qu'il confère, mais on regrette néanmoins que Panasonic n'ait pas profité de l'occasion pour améliorer d'autres aspects.
Ce Panasonic Lumix DMC-GM5 sera disponible en France au mois d'octobre pour 850 euros, associé au zoom rétractable 12-32 mm f/3,5-5,6 équivalent à un 24-64 mm. Deux nouveaux objectifs accompagnent cet hybride miniature : une nouvelle génération du 14 mm f/2,5 ainsi qu'un zoom 35-100 mm f/4-5,6, qui seront tous deux vendus 400 euros chacun.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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