Panasonic GF5 : l'hybride encore plus tactile et grand public

05 avril 2012 à 12h42
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Panasonic a annoncé ce matin le « GF5 », successeur immédiat du GF3 annoncé il y a un peu moins d'un an (le quatre portant malheur aux japonais). Le nouveau compact à objectif interchangeable (COI) du fabricant continue sur l'élan de consumérisation de son aîné.

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Si le GF3 avait principalement bénéficié d'un gain de compacité, le « GF5 », qui hérite quasiment du même boîtier, peaufine quant à lui l'ergonomie, avec une cible toujours plus grand public.

Seul changement notable sur le plan extérieur, la poignée gagne un revêtement antidérapant en caoutchouc. L'écran tactile quant à lui s'en tient à une diagonale de 3 pouces (7,5 cm) mais passe d'une modeste définition de 460 800 points à une honorable 921 600 points.

Mais c'est l'interface que celui-ci affiche qui bénéficie des principaux changements. Pour commencer, elle est désormais entièrement utilisable en tactile, jusqu'à la navigation dans les menus, sans pour autant évincer le pavé directionnel et la molette que beaucoup préfèrent, ouf ! Le menu des 23 modes scènes a été repensé et le choix d'un effet artistique (dont quelques nouveaux) est facilité par un exemple concret.

Sous le capot, le GF5 n'est qu'une mise à niveau relativement mineure, avec un « tout nouveau » capteur s'en tenant à 12 millions de pixels mais photographiant désormais, associé à une puce de traitement améliorée, jusqu'à 12 800 ISO (contre 6400). Il filme en revanche toujours en Full HD 1080i (et non 1080p). Son autofocus promet enfin d'obtenir le point en seulement 0,09 seconde.

Le « Panasonic Lumix DMC-GF5 », de son nom complet, sera commercialisé en France à partir du mois de mai. Il y sera vendu 700 euros avec le zoom motorisé ultracompact 14-42 mm (équivalent 28-84 mm) ou 550 euros avec le zoom classique de même focale.

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Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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