Autrefois réservé aux appareils photo haut de gamme, l'écran tactile s'étend désormais à l'entrée de gamme. En témoigne le dernier né de Casio, l'« Exilim ZS15 », un nouveau compact sans grande prétention à un prix abordable.
94,9 x 56,3 x 20,3 mm pour 154 g
La particularité du « ZS15 » est donc d'arborer un écran LCD tactile, en l'occurrence d'une diagonale honorable de 3 pouces (7,6 cm) mais d'une définition grossière de seulement 230 400 points (320 x 240 pixels). Le procédé employé (capacitif ou résistif) n'est pas précisé, mais on sait qu'on peut choisir où faire la mise au point, la mesure de l'exposition et déclencher d'une tape sur l'écran, ou faire défiler les photos par défilement du doigt.
Les autres caractéristiques sont par ailleurs tristement communes. Le « ZS15 » n'évite pas pour commencer l'écueil du petit capteur trop défini, puisque 14,1 millions de photosites s'entassent sur son capteur CCD d'1/2,3 pouce de diagonale. Celui-ci ne photographie d'ailleurs qu'à 1600 ISO, et filme en HD 720p au format Motion JPEG avec son mono.
Il est surmonté d'un zoom grand angle d'une amplitude de 5 fois offrant un bon recul avec une équivalence 26-130 mm. Assez peu lumineux, avec une ouverture s'échelonnant de f/3,2 à f/6,5, il n'est malheureusement pas stabilisé.
Dans un souci de simplicité, il présente enfin la particularité de pouvoir être rechargé au travers d'un simple câble USB.
Le « Casio Exilim ZS15 » sera commercialisé en France à partir de la rentrée au prix public de 130 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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