Viber prend aujourd'hui un nouvel élan sur ce qu'on appelle le marché des communications unifiées avec une mise à jour majeure de ses applications mobiles mais aussi et surtout le lancement d'un logiciel pour ordinateurs.
La concurrence s'intensifie entre les différents acteurs de messagerie et de voix sur IP. Alors que le PDG de WhatsApp a récemment déclaré que le service resterait exclusivement mobile, marché sur lequel il est numéro un, Viber prend son principal concurrent à contre pied. En devenant multi support, Viber entre dans la cour de Skype et Facebook, qui ont récemment intensifié leurs efforts.
Le logiciel « Viber Desktop » arbore une interface simple offrant toutes les fonctionnalités des applications mobiles, avec lesquelles il s'interface étroitement. On retrouve donc les messages textes (avec accusés de réception et de lecture), l'envoi de photos, de « stickers » (semblables à Facebook) et les appels. Les messages sont synchronisés en temps réel sur tous les appareils d'un utilisateur (les suppressions sont répliquées) et les appels peuvent être transférés d'un ordinateur à un mobile et réciproquement, ce qui permet de changer d'appareil de manière transparente.
Viber Desktop inaugure en plus la visio, en beta, que les applications mobiles ne devraient accueillir que dans un second temps.
Les applications Android et iPhone bénéficient d'ailleurs d'une mise à jour majeure et passent en version 3.0. À défaut d'accueillir la visio, elles permettent désormais d'envoyer des vidéos en plus des photos. Elles abritent un nouveau moteur pour la voix et bénéficient de multiples optimisations. L'application Android en particulier s'émancipe de la version iPhone en adoptant les codes esthétiques Holo.
Notons pour conclure que les utilisateurs restent identifiés par leurs numéros de téléphone et que les contacts proviennent toujours du carnet d'adresses du mobile, ce qui perd de son sens maintenant que le service est multi support.
Quoi qu'il en soit, Viber Desktop et Viber 3.0 pour Android et iPhone est disponible dès à présent :
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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